Chronologie de Climatologie et Météorologie                     Retour au Thématique

• entre celle de Riss, de -320 000 à -130 000,
• et celle de Würms, située par 3 épisodes entre -80 000 et -8 500.

• en Europe, Neandertal, bien sûr, qui serait en actuelle Saxe (All.), et Maastricht (Pays-Bas).
• Le Latium (Rome),
• la Slovénie actuelle,
• L'Auvergne (Fra.);
• Au Proche-Orient, l'actuel Liban, Palestine-Israël.

'- Maintenant le soleil, se déplaçant comme il le fait, met en branle un processus de changement, de devenir et de déclin qui par son action élève la plus fine et douce eau chaque jour, la dissout en vapeur et la transporte vers les hauteurs où elle se condense à nouveau par le froid et retourne ensuite à la terre. -'

La météorologie est donc '- La science étudiant les phénomènes physiques et les processus dynamiques de l'atmosphère, les "paramètres météo" et les " Modèles Mathématiques de Prévision Numérique" (MMPN). -'

• Il propose un calendrier solaire;
• Il invente une sphère armillaire mue par un mécanisme d'horlogerie;
• Il a écrit plusieurs descriptions de tornades
• Il a confirmé une théorie de Sun Sikongselon laquelle les arcs-en-ciel qui sont formés par l'ombre du Soleil sous la pluie, se produisent lorsque le Soleil brille sur lui.

• Réévaluation monétaire grâce surtout à la confiscation des biens de Juifs (expulsés);
  Ils seront à nouveau persécutés et chassés de France en 1322.
• Considérable crue de la Seine (1306).

• En Italie, une grande marée endommage fortement Venise (qui ne 'flotte' pas, malgré les apparences.
  La Méditerrranée, dont les eaux 'basculent' peu (comme dans un bassin que l'on penche) a de plus faibles marées.
  La marée de 1410 est difficile à élucider des centaines d'années après.
• En France, c'est la sécheresse et de dramatiques famines.

'- Rapport entre la teneur en vapeur d'eau de l'air ambiant et la teneur maximale en vapeur d'eau possible à la même température.
L'air est 'sec' quand il donne 0%. Lorsqu'il marque '100%', le maximum, l'air est dit 'saturé'. -'

En physique, on définit la pression, notée p, comme le quotient d'une force (F) sur l'aire de la surface (S) sur laquelle elle s'applique: p=F/S.
Cette définition et cette formule sont similaires à celles de 'contrainte'.

• Il remarque que les systèmes météorologiques vont d'ouest en est en Amérique du Nord.
• Il publie la première carte scientifique du Gulf Stream,
• Il prouve que la foudre est un phénomène électrique,
• Il relie les éruptions volcaniques et le comportement de la météo;
• et spécule sur les effets de la déforestation sur le climat.

• Le Brouillard est la suspension dans l'air de petites gouttelettes d'eau, invisibles à l'œil nu.
  Leur formation diminue évidemment la visibilité au sol.
  Pr extension, les 'brouillards' de pollution sont des suspensions de particules nocives.
  Les 'nuages' ne sont pas des goutelettes, mais de la vapeur (composants de gaz).
  Il en faut de l'ordre de 1 million pour former une grosse goutte (par condensation).
• La 'bruine' est une précipitation de très fines gouttelettes très rapprochées d'un diamètre inférieur à 0,5 mm.
  Si l'eau est en surfusion, elle se congèle à tout impact. La bruine devient du 'stratus';
• Les cyclones sont des zones de basse pression, où la pression décroît à mesure que l'on s'approche de son centre.
• Les dépressions sont des zones où la pression atmosphérique est nettement inférieure à la moyenne (proche du noveau de la mer)
  Dans l'hémisphère nord, les vents tournent autour des dépressions dans le sens contraire aux aiguilles d'une montre.
• Les isobares sont les lignes joignant les points de même pression; dans une zone de dépression, ils sont plus ou moins parallèles et concentriques.
  C'est ce qu'on voit à la télévision, illustrant la 'météo'
• Les embruns sont les particules d'eau de mer enlevées aux vagues par le vent.
  Après évaporation, il n'en reste que les sels.
  La mer est d'ailleurs 'salée' parce que les fleuves y déversent leurs composants de sels.
  La mer, en s'évaporant, y laisse sa concentration de sels.
  Ainsi le courant Gulfstream, depuis le Golfe du Mexique, 'plonge' près de l'Islande car il est plus dense que l'eau de l'Arctique.
  La Méditerranée, où il aiut plus chaud qu'en Atlantique, est plus salée en raison de cette évaporation.
  Les grands lacs, même bien au chaud, ne sont pas salés si leurs fleuves ont peu d'apports.
• La fusion est le passage de l'état solide à l'état liquide. La glace qui 'fond'.
  Le changement d'état entre la glace et l'eau n'est pas uniforme; il s'y présente des formes topologiques appelées [par I. Prigogine] des structures dissipatives.

• En 1879 il sera repris par Stokes.
• Ensuite, ce sera l'Actinomètre;
• Puis le pyranomètre (qui est une version électrifiée);
• Puis au luxmètre, qui donne une mesure d'éclairement;
• Puis le radiomètre multispectral.

• Donne l'intensité du rayonement magnétique à des longueurs d'onde spécifiées, notamment cele du rayonnement visible réfléchi ou IR émis ('sondage thermique').
• Il réalise des photos de la couverture nuageuse.
• Le diffusomètre mesure la 'visibilité';
• Le transmissomètre' mesure également la visibiité.

• Naufrage du Henri IV le 14 novembre 1854.
  L'an 1854 est désastreux pour la marine française.
  En novembre, durant la guerre de Crimée, 38 navires, français sont perdus [selon Net], ainsi que des Turcs et des britanniques (le Net fr. dit 'anglais').
  Parmi eux le leader de la marine française, le Henri IV.
  Pendant le siège de Sébastopol, L'escadre française est frappée par un ouragan, et le gorieux Henri IV (et le Pluton s'écrasent sur la côte d'Eupatoria.
  NdR: Il surprend d'ailleurs que de puissants navire de guerre résistent et manœuvrent aussi mal.
  Mais ce sont d'énormes quasi-châteaux (très sales), quasi sans quille, avec une absurde voilure au carré très complexe (40 voiles), encombrante, aux mâts trop lourds.
  Gros bacs de jusque 300 marins (La Sémillante, fr.) d'équipage en guenilles et crevant d'infections, ils sont drossés par tout mauvais temps.
  
  Quant à Sébastopol, c' est la puissante forteresse de Crimée voulue par l'amiral russe Potemkine.
• La Sémillante quitte Toulon le 14 février 1855, à destination de la Crimée pour apporter aux forces rançaises en Crimée des vivres, des renforts en troupe et en gros matériel.
  Son équipage est de 293 hommes, amenant plus de 400 militaires de l'armée de terre.
  Prise dans une tempête au large de la Sardaigne, gros bac ingouvernable, et mal pilotée, elle fait naufrage dans une zone de brisants et d'écueils.
  Il n'y eut aucun survivant sur les 773 hommes à bord, mais les îlots sont jonchés de ses cadavres.

• Le vent se déplace en sens anti-horaire autour d'une dépression;
• Le vent se déplace dans le sens horaire autour d'un anticyclone

'- Les Français sont ces gens bizarres qui sortent sans parapluie sous prétexte qu'il ne pleut pas -' [Major Thompson, selon P. Daninos].

• La troposphère est

  '- La couche inférieure de la stratosphère, jusqu'à 8 à 16 km d'altitude.
  elle est affectée sur 2 ou 3 km de tourbillons dus à la présence de relifs, de végétation etc.
  La température y décroît jusqu'à la 'stratosphère'. C'est le siège des phénomènes météorologiques.

• La Stratosphère est

  '- la couche de la haute atmosphère située au-dessus de la troposphère. La température y augmente avec l'altitude.
  Elle couvre entre 8-16 km et 50 km d'altitude environ.
  Elle est le siège de la couche d'ozone. -'

• troposphère et
• stratosphère.
• Cette convention est toujours valable en 2 019.

• Front froid
• Front chaud
• Occlusion
• Stationnaire

• Arctique
• Maritime
• Polaire
• Tropicale

• la force de Coriolis,
• ces fronts,
• et la force de pression,

• Vilhelm et Jakob Bjerknes : les rencontres des fronts;
• Carl-Gustaf Rossby qui fut le premier à expliquer la circulation atmosphérique à grande échelle en termes de mécanique des fluides
• Tor Bergeron qui détermina le mécanisme de formation de la pluie
• Cette approche se répandit dans le monde entier.
  Encore en 2 019, les explications météorologiques simplifiées que l'on voit dans les médias utilisent le vocabulaire de l'école norvégienne.

• Anarchiques dans les zones de tempêtes où elles sont créées, les vagues s'ordonnent en s'éloignant: c'est la houle.
  La houle est d'autant plus régulière qu'elle a parcouru de vastes étendues.
• La vitesse et la puissance de la houle dépandent de l'aire qu'elle a pu parcourir et de la surface sur laquelle le vent s'est exercé.
  Ainsi le maximum est en Pacifique sud, où elle peut faire le tour du monde : 55 km par heure. Plus lent en Atlantique.
• De 'supervagues' peuvent se produire lorsque des houles produites à plusieurs endroits s'additionnent.
  Leur formation est chaotique, mais elles peuvent atteindre 30 mètres de haut.
• La périodicité des vagues est large: de 1 à 15 secondes (selon la longueur d'onde).
• La hauteur maximale est le dixième de la vitesse du vent. Donc un vent de 120 km/h peut donner 12 mètres.
  12 à 15 mètres dans l'Océan Antartique; 4 à 5 mètres dans la Manche.
  
• Puissance : en Atlantique, les vagues frappent un obstacle à des pressions de 4 à 5 tonnes par mètre carré.
  Les tempêtes peuvent donner à 40 tonnes.
  En Pacifique, on a observé des jets de galets à 40 mètres de hauteur, et des pierres de 50 kilos lancées à 30 mètres.
• Les tsunamis se voient peu sur l'océan; mais leur longueur peut atteindre 25 kilomètres, et leur vitesse peut atteindre 750 km/h.
• Les vagues s'orientent pour devenir parallèles au rivage.
  En effet, la partie de moindre profondeur va freiner et faire virer l'ensemble.

' Ô rage, ô désespoir, vieillesse ennemie ... [Musset].

• Aux EU : développement des premiers radars météorologiques opérationnels, dus notamment à David Atlas.
• Au Canada : J. Stewart Marshall et R.H. Douglas forment le Stormy Weather Group à l'Université McGill de Montréal.
  Ce dernier travailla sur la relation entre
  a. la réflectivité (Z),
  b. le retour d'intensité de la précipitation, et
  c. le taux de précipitation (R).
• En Grande-Bretagne, les recherches portent sur les caractéristiques des patrons des précipitations,
  et sur les possibilités qu’offrent les différentes longueurs d'onde entre 1 et 10 centimètres.
• En Belgique, développement des méthodes d'analyse statistique. L'observatoire deviendra un fondateur de la Société belge de Statistique .

• La météorologie;
• L'hydrologie;
• L'hydrométéorologie;
• Le géomagnétisme;
• La magnétohydrodynamique.
• Coordination par section d'observation et de traitement (statistiques) de l'information.
  Toutes les observations collectées sont archivées en vue d'évaluer leur stabilité et leur prévisibilité à long terme.
• Section de télécommunications de pointe.