Chronologie des Personnages :   Médiatiste   de la Zone :   Europe_Nord                 Retour au Choix des Personnages

Et, comme disait Dracula : '- J'irais bien boire un cou -'.

• 1 926 : Baird fit la première démonstration Envoi d'images par ondes hertziennes.
• 1928: Premières télévisions en couleur.
• 1929: Première diffusion publique d'images télévisées, à Londres.

'- Au fond, sur les vieilles images en noir et blanc, on voit mieux la tristesse -' [Brèves]

• Bulgarie (Soprano, f.) : 'Les Arènes de Vérone', 1er siècle. Italie.
• Belgique (Chorégraphe, f.) : 'La Muse endormie', 1909, de Constantin Brancusi. Roumanie.
• Rép. de Tchékie (Réalisateur, m.) : 'Alice au Pays des merveilles'. Film d'animation de Jiri Trnka. Tchékie.
• Danemark (Réalisateur, m.) : Victoire, de Rudolf Tegner. Poète suédois. (1782-1 846). Suède.
• R.F. d'Allemagne (Chorégraphe, m.) : L'Autel de Pergame (NdR: C'est sûrement le grand autel de Zeus, et sa fresque, du -IIème siècle, av. J.C.
  Pergame avait aussi une immense bibliothèque). Italie.
• Estonie (Réalisateur, animation, m.) : Stonehenge (NdR: le fabuleux site de dolmens et pierres levées, de -2200 à -1800). Grande-Bretagne.
• Grèce (Compositrice, f.) Ancien théâtre d'Épidaure. Par Polyclète le Jeune. Grèce.
• Espagne (Peintre, m.) : 'La grotte de Chauvet' (Peintures rupestres, vers -30 000 ou -25 000, France).

• L'actrice (australienne: Mia Wazikowska) entre par le terrier d'un lapin, retourne le monde et perd la tête.
• '- Les certitudes et les savoirs les plus assurés de l'âme humaine sont remis en cause - '
  Ce qui est bien plus téméraire que traverser le pôle à pied.
• NdR: En mars 2 010, avec notamment: 'De l'autre côté du Miroir', avec les gravures de John Tenniel.
• NdR: Les médias et les business se déchaînent.
• En gastro, les macarons 'Ladurée'.
• En théâtre 'Du côté d'Alice', par Catherine Anne, interprété au théâtre de Rouen (France).
• En disque 'Almost Alice', par Danny Elfmann.
• En spectacle, Jérémie Graine :'L'Espace Paris Plaine'.
• L'équipe lyonnaise (et d'autres) font un jeu vidéo du film...
• Production de poupées chinoises, clients gogos...

'- Ce peuple mystérieux qui semble cracher des fleurs de fau
et trépigner pour les éteindre -' [Jean Cocteau ]

'- Tous les jours, toute l'année à toutes les saisons, elle nage avec ses amis à son du club des baignades en mer adoré.
Son histoire met en perspective nos propres vies et comment notre existence est le fruit du hasard. -'

'- Année 1564, alors que les Flandres subissent l'occupation brutale des Espagnols, Pieter Bruegel l'Ancien, achève son chef d'œuvre "Le Portement de la croix", où derrière la Passion du Christ, on peut lire la chronique tourmentée d'un pays en plein chaos. Le film plonge littéralement le spectateur dans le tableau et suit le parcours d'une douzaine de personnages au temps des guerres de religions. Leurs histoires s'entrelacent dans de vastes paysages peuplés de villageois et de cavaliers rouges. Parmi eux Bruegel lui-même, son ami le collectionneur Nicholas Jonghelinck et la Vierge Marie. -'

'- Inspiré par une étude du critique d'art Michael Gibson sur Le Portement de croix de Pieter Bruegel l'Ancien, le film Bruegel, le moulin et la croix vient étendre l'une des lignées cinématographiques les plus restreintes : l'adaptation d'une oeuvre picturale à l'écran. Dès le tout premier plan, Bruegel se révèle être de ces films-là. Dans un lent silence, la caméra et l'oeil avancent le long d'un décor peuplé de modèles vivants, aussi immobiles que possible, attendant d'offrir au pinceau du maître ses couleurs. Le pari ne saurait être plus clair : il ne s'agit pas de raconter l'histoire du tableau, pas seulement.
Il faut retrouver en deçà de la toile la pose originelle, ses teintes, son tremblé, son imperfection tout entière, avant qu'elle ne trouve à s'aplanir sous le pinceau du maître, éternisée. Et tandis que le modèle se dédouble entre la toile et l'objectif, la caméra construit plan par plan, comme trait par trait, une image de tableau.

Exercice d'esthétique

Lenteur et silence. La création s'élabore par succession de poses. Le travail sur la lumière est admirable, les couleurs éblouissantes, la composition si parfaitement rigoureuse qu'on en pourrait tracer, les yeux fermés, chaque ligne de force. Les hommes et femmes en costume, filmés sur fond vert, sortent vigoureusement du décor.

Toutes les quinze ou vingt minutes, un personnage modèle prend la parole avec la solennité d'un homme de foi. Il parle peu. Chaque phrase vient presque en trop, comme un blasphème contre l'image : entre la sentence et l'aumône, une clef nécessaire aux faibles que nous sommes, à dépendre petitement des mots. L'ultime échange du peintre avec son commanditaire sonne comme une leçon d'histoire de l'art conçu comme art sacré, et la belle métaphore de l'araignée travailleuse prend des allures de parabole.
Le projet Bruegel fut, à n'en pas douter, un exercice d'esthétique passionnant, fixé dans un réseau arachnéen de grandes questions sur l'art et la manière, le rapport de l'oeil à la toile, les liens et les écarts de la toile à l'écran. [.]-'

La variation d'une évolution est la dérivée seconde de la courbe qui la représente.

'- proposant des articles d'opinion et d'analyse sur la politique, l'économie et la culture -'