Chronologie historique et culturelle par PAYS et Domaine choisis             Retour au choix de Domaine

• Les site archéologique est lui-même une colline artificielle haute de 15 mètres pour un diamètre de 300 mètres.
  • En 1963 Des archéologues des EU, dont Peter Benedict, remarquèrent plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés.
    Göbekli Tepe fut alors enregistré en tant que site archéologique
  • En 1 993, un berger aperçut un groupe de grosses pierres aux formes étranges émergeant du sol.
  • Le site fut donc l'objet de fouilles de 1995 à 2 006 par des universités allemandes (il y a toujours eu des coopérations turco-allemandes).
    Le Musée de Sanliurfa, la grande ville le plus proche, y fut associé.
  • Le sanctuaire mis à jour devançant d'environ 70 siècles les plus anciennes pyramides égyptiennes.
    Ce sont plusieurs 'ronds' de mégalithes représentant comme une assemblée humaine.
    Il y en a une quarantine, de 3 mètres de hauteur.
  • De surcroît, une pierre gigantesque (9 mètres) est découverte, mais elle est fendue.
    Sans doute un maçon maladroit L'a-t-il mal portée.
    Les chercheurs estiment que 250 autres pierres seraient encore enfouies dans le sol.
  • Sur certains piliers, on peut voir de nombreux animaux finement représentés (serpents, canards, grues, taureaux, renards, lions, sangliers, vaches, scorpions, fourmis).
    Certaines de ces gravures ont été volontairement effacées, peut-être en préparation d'autres représentations.
  • Des sculptures isolées semblant être des représentations de sanglier, de renard, de tatous ou des oies. Mais, faites d'argile, elles sont déteriorées.
  • Des statues de même type ont été trouvées à Nevali Cori et Nahal Hemar. Les ateliers de sculpture ayant créé ces statues seraient situés sur le plateau lui-même, des piliers non terminés ayant été trouvés in situ. Des cuvettes en forme de bol dans la roche argileuse ont été trouvées, technique peut-être déjà utilisée pour faire de la sculpture et du mortier argileux, dans l'Épipaléolithique.
  • Il y a aussi des formes phalliques et des motifs géométriques dans la roche, dont la datation est inconnue. Ils sont à rapprocher des cultures sumérienne et mésopotamienne, ainsi que des sites d'Asie Mineure et d'Égypte de la même époque, comme Byblos, Nemrik, Helwan et Aswad.
  • Du point de vue de la religion et des mythes (c'est un temple), se basant sur les importantes représentations d'animaux, il doit s'agir d'une culture shamanique.
    Elle est à rapprocher de la culture sumérienne et mésopotamienne, aussi en raison de motifs utilisant des points comme à Byblos.
    Les pratiques rituelles seraient donc proches.
  • Le site montre aussi qu'il y aurait eu certaines grandes ssociations humaines bien avant l'agriculture, ce qui n'était pas admis.
    Une thès est que ce serait la célébrations commune de rites qui aurait assemblé ces braves gens.
    Le Pr. Schmidt invoque dès lors que organisation sociale nécessaire à la création de ces bâtiments a favorisé une exploitation organisée du blé.
    Ceci rapporté au fait d'une baisse de la qualité alimentaire disponble à cette époque.
    Le "jardin de curé"?
  • Göbekli Tepe est situé dans la région de Turquie appartenant au Croissant fertile (allant vers l'Irak). Cette région est probablement le lieu d'origine de l'"engrain"; (variante du blé), première céréale utilisée par l'homme.
  '- Cela dit, aucune trace de plantes ou d'animaux domestiqués n'a été trouvée.
  On n'a pas non plus retrouvé d'habitations durables, en pierre.
  Ainsi donc, cette transition reste encore aujourd'hui une hypothèse.
  Pourtant, on a retrouvé, ensevelis à 4 m de profondeur, c'est-à-dire datant de la même période que les temples, des outils, comme des racloirs, des pointes de flèches, des os d'animaux (gazelles, lièvres), des graines sauvages et du bois carbonisé.
  Cela prouve avec les silex retrouvés, une présence humaine durable.
  Cela conforte l'idée que les hommes de Göbekli se nourrissaient de gibiers, de plantes et de fruits qu'ils cueillaient et chassaient, sans être éleveurs ou fermiers. -'
  
  Enfouissement :
  '- Toutefois, [encore selon Klaus Schmidt], une chose étrange s'est produite vers 8000 ans av. J.-C., pendant la transition vers L'agriculture : Göbekli Tepe a été enterrée délibérément, et non pas par une coulée de boue.
  Pour des raisons inconnues, les bâtisseurs ont décidé d'enterrer le site.
  La terre que nous retirons sur les pierres a été placée ici par l'homme. Toutes ces collines sont artificielles. -'
  
  Ce site fabuleux a développé bien des thèses imaginatives, dont celui que s-ce serait celui du Jardin de l'Eden, de la Genèse biblique.
  Verdoyant à l'époque, il subit le destin de l'enfouissement (en -8000) et l'Homme en fut chassé.
  Et madame Ève avec. Bien fait pour sa pomme.

'- Des enduits de plâtre et chaux étaient utilisés comme support à des fresques de la civilisation de Çatal Hüyük. -'
'- Prémices de la métallurgie (on a trouvé des perles de plomb et de cuivre) -'

'- Le Déluge (entre -6000 et -5000).
le mer noire aurait vu une inondation gigantesque qui aurait entrainé sa création. -'

• Les hommes furent massacrés;
• Les femmes et jeunes filles réduites en esclavage.
• Énée put se débiner, et rejoindre un camp de vacances en Tunisie attendu par Didon.
  Puis il aurait fondé Rome etc.
• Ulysse préféra passer quelques années dans les îles grecques avec des nymphes.
  Cette Odyssée le ramena quand même chez sa Pénélope qui l'attendait de ferme pied.
  
  En 2 014 : Des touristes d'îles grecques y cherchent encore des nymphes sur les grèves, des fois que...
  
  On prête aussi à Homère l'Odyssée et d'autres poèmes épiques.
  Le plus connu des auteurs de l'Histoire est le plus méconnu?

• D'abord un 'heureux événement' : Naissance de Mélisende.
  Elle est la fille du roi flamand Baudouin II de Jérusalem et comte d'Édesse, et de Morfia de Malatya.
  La belle Mélisende, arménienne, qui sera reine de 1131 à 1143, est une reine 'de légende', adulée de tous.
  Il existe de nombreuses imageries et miniatures éblouissant sa beauté¨et son courage.
  
  C'est Baudouin qui fit de Édesse un 'comté'.
  De nom Urfa, elle avait été déjà assiégée par les Perses en 503.
  Elle sera reprise par Zengi en 1144.
  
  Mélisende est donc 'reine de Jérusalem, née à Édesse.
  Notons que c'est une autre 'Mélisande' qui est plus connue: l'héroîne cardiaque de Pelléas et Mélisande, de très belle musique (Debussy) et une charmeuse sicilienne de G. Fauré.
  
  Les circonstances ne l'expriment pas, mais c'est plutôt un prénom breton.
• En avril les Croisés du roi Baudouin de Jérusalem prennent Arsouf, en actuel Israël.
• Dès le mois de mai, les Croisés prennent Césarée - qui est le nom de plusieurs villes romaines, en l'honneur de César Auguste.
  Il y en a en Asie Mineure, Syrie, Palestine et Mauritanie.
  Celle-ci est l'actuelle Kayseri turque :
  • Fondée par les Romains sous le règne de Trajan, elle fut capitale de la Cappadoce (en Asie Mineure);
  • Au IVe siècle, patrie et évêché de Saint Basile ;
  • Elle passe aux Byzantins, puis au VIIe s. aux Arabes; islamisation;
  • En 1082, conquête par les Turcs Seljoukides, reste donc musulmane;
  • Elle est reprise par les Croisés en 1100;
  • Au XIVe s., entièrement ravagée et violée par les Mongols;
  • Reprise par les Turcs Ottomans en 1397, puis en 1515, devenant la Kayseri turque (on y entend encore 'Caesar').
• La Césarée d'actuel Israël, qui était un port bâti au -Ier siècle sous Hérode.
  Prise d'abord par les Arabes en 633, elle fut entièrement - on peut dire 'religieusement' - détruite par les Musulmans en 1265.
• En juin, le Croisé Guillaume II d'Aquitaine arrive à Constantinople.
• Les Croisés prennent Ankara, en pleine Asie Mineure, actuelle capitale de la Turquie.
  Elle relevait du sultan Seljūqide Qilij Arslān Dâwûd.
• En juin, le Croisé Guillaume II d'Aquitaine arrive à Constantinople.
• Les Lombards, quant à eux, subissent une défaite à Merzfún ('Merzifon' en fr.)
• Les armées de Baudouin défont une importante armée d'Égyptiens en septembre

• Une puissante armée de Trimariotes, cavaliers turco-Tatars recevant des revenus fiscaux.
• Les importants corps de Janissaires, très entraînés et sans scrupules.
  Ce sont surtout des enfants enlevés aux chrétiens et élevés dans le Djihad islamique et la conquête militaire.
  Eux aussi ont appris les tueries snas scrupules.
• L'autorité générale du Sultan. Alors que les 'conquis' ne peuvent opposer que des troupes de 'Provinces'.
• La terreur semée par ces soldatesques, et la cruauté des répressions.
  Les souvenirs des yeux arrachés à vif, des pieds et mains coupées, etc., découragent bien des bonnes volontés.
• Un gigantesque rackett pour financer (et alimenter en femmes) l'empire, sa cour et ses militaires.
• Lors de la soumission des Chérifs de La Mecque, le sultan (Sélim 1er, 'Le CRuel') comprit l'importance de l'unité religieuse.
  La soumission des conquis qui était d'unité militaire et judiciaire devint aussi religieuse.
  Ainsi le pouvoir théocratique en sus impose l'homogénéité, et restera encore en Turquie (en 2 016).
• Les divisions et conflits entre les pays occidentaux, qui s'y sont opposés très tard.
  Seuls des 'corps constitués' comme les 'Chevaliers Teutoniques' ou les costauds 'Cosaques' étaient incontestables.
• Enfin, les Turcs étaient très bien armés, leur richesse aidant.
  Une 'grande miniature' turque montre des fameuses batteries de canons attaquant Vienne en Autriche.
  Elle date toutefois de 1588.
  Mais on sait que ce sont de gros canons qui abattirent Constantinople en 1453.

• Conquête des pays arabes, ou arabisas (sauf le Maroc);
• Soumission des corsaires du Maghreb, dont surtout Alger;
• Guerres contre Charles V et les Habsbourgs. Avancées en Europe Centrale;
• Vassalisation de la Hongrie;
• Guerres contre la Perse.

Ils tentèrent de dire qu'imposer la Shari'a, le rackett et la loi des militaires n'est pas une Constitution d'empire.
NdR: pourtant, en 2 016, on ne voit toujours guère d'autre chose de la part de l'État islamique du DAECH.

• Révolte albanaise en Épire (ancienne province grecque, mais restée musulmane);
• 1830 :
  Après les bombardements d'Alger par la Navy britannique, déclaration de l'Algérie française;
• 1830 :
  Autonomie de la Serbie en 1830;
  Autonomie des provinces roumaines.
• > 1840 :
  En 1840, indépendance de l'Égypte sous Méhémet Ali.

'- Les bébés sont arrachés, tenus par les pieds et fracassés sur les rochers devant leurs mères -', etc.
En fin d'année se réalise la 'solution finale' préconisée: les 'convois de la mort' (repris par les nazis) s'ébranlent -'

• 1 919: Il s'est opposé à l'Entente
• Il devient président du Comité Exécutif de la 'Grande Assemblée' d'Ankara.
• 1922 :   Il déposera le Sultan
• Adoption de l'alphabet latin.
• Les violents Jeunes Turcs viennent au pouvoir.
• Il fera la guerre aux Arméniens (génocide depuis 1 879), aux Kurdes (idem) et aux Grecs.
• Il deviendra Président en 1 923, conduisant une 'modernisation' de la Turquie.
2 000 : Une majorité islamique reviendra cependant aux élections locales vers 2 000.
En décembre 2 010, on trouve un ou plusieurs sites 'internet' se disant &Apos;Jeunes Turcs'.
• 2 012 :
  Une estimation [Médias] est d'environ 1,4 % de chrétiens encore présents en Turquie.
• 2 016 :
  Le président Erdogan reprend la ligne autoritaire de Atatürk, mais porté au pouvoir par les Frères Musulmans.
• 2 016 :
  Il y aura (août) plusieurs contestations, mais des milliers de militaires et hauts placés ont été jetés dans les prisons.
• 2 016 :
  En octobre 2 016, le président Erdogan, impose de rétablir la peine de mort.

• Abolition du Califat, du Sultanat et adoption de l'alphabet latin.
• Il poursuit le terrible génocide des Arméniens.
• Il conduit aussi la guerre contre les Grecs (1922) où eut lieu le ravage et la tragédie de Smyrne ex-grecque.

'- Nurettin Pacha fut nommé pour diriger la baie.
Des Turcs se livrèrent à des pillages et à des tueries dans le quartier arménien.
Le métropolite de Smyrne, Chrysostomos, reste pour accomplir sa mission.
Il est alors saisi et traîné sur la Grand-place et livré à la furie de la foule.
Il sera alors quasi déchiqueté sur place, sous les yeux des sentinelles françaises armées du consulat.
Elles n'interviennent pas -'

'- Un immense incendie s'y déclara le 13 septembre.
Des soldats turcs, réguliers et irréguliers, l'avaient peut-être déclenché.
Les autorités en rendirent responsables les Arméniens ou les Grecs.
Le feu continua à se propager dans la ville chrétienne ou occidentale.
Très rapidement, les entrepôts, les hôtels et les bureaux alignés le long du quai, tout s'embrasa su quatre kilomètres de long. -'

'- Comme lors des précédents massacres de 1 797 et 1 821, les chrétiens se précipitèrent sur le quai.
Et ce fut un véritable massacre. La plupart des Arméniens et beaucoup de Grecs d'Izmir furent tués.
Les hurlements des réfugiés et les tirs incessants de pistolets et de fusils ne réussirent toutefois pas à couvrir le grondement des flammes et l'effondrement des bâtiments.
La Grande-Bretagne, les États-Unis, la France et l'Italie avaient déjà évacué leurs ressortissants.
Pour finir, contraints parfois par leur équipage horrifié, les bateaux de guerre étrangers amarrés dans le port accueillirent des réfugiés qui ne s'étaient pas noyés en tentant de les rejoindre.
Durant tout le mois de septembre, environ deux cent vingt et un mille réfugiés furent évacués du Cordon.
En l'espace d'un mois, la ville changea de caractère.

Inspectant la ville en flammes, Atatürk dit, selon son biographe Andrew Mango :

'- Laissez-la brûler. Laissez-la s'effondrer " Gavur Izmir la cosmopolite avait vécu... -'

'- Bien que l'incendie de la ville fût une perte cruelle, Izmir la musulmane ne perdit rien de la joie de la victoire. -'

Les autorités turques décident d'"éliminer toute trace des minorités".
En clair, les chrétiens survivants des carnages, grecs et Arméniens.
Condamnés aux travaux forcés, ils disparurent à jamais.
Les autorités de la ville gardèrent pour ces opérations le terme de libération.

À la suite de ce Traité de Lausanne, toute la zone fut rendue à la Turquie, ainsi que la Thrace, ex grecque en Europe.

La princesse Mathilde de Belgique devra - protocole oblige - poser une gerbe aux pieds du grand mausolée de Mustapha Kemal.
Ce qui choquera gravement beaucoup de Belges lucides quant à l'Histoire.

• La négation des droits des Kurdes, la négation du génocide arménien,
• l'accord pour supprimer tout contrôle des dépenses (donc des actions?) militaires,
• l'interdiction d'un feuilleton historique pouvant affaiblir l'image de Suleyman,
• l'abattage de la statue de Kars, symbole de la tolérance vis-à-vis de l'Arménie,
• le culte du général Atatürk, qui s'était illustré lors des massacres des Arméniens.
• On assiste aussi à une montée du mouvement des 'Jeunes Turcs', très durs de ce temps-là.
  Leur orientation de ce jour (islamique? militariste? nationaliste) n'est pas ouvertement déclarée.

• Les islamistes - le Premier, M. Erdogan, leader des 'Frères Musulmans'; (le pays a 72 millions de musulmans).
• Des Nationalistes - le mouvement dur développé avec le général Atatürk
• Des modérés, pacifistes, laïcs et Kurdes, mais sans forces organisées.

• De nombreux professeurs d'université de Turquie, liés aux académiques du monde entier, ont rédigé une pétition en faveur de la paix.
  Ils demandent au pouvoir turc de cesser les bombardements et les excations sur les populations kurdes.
  NdR: On se rappelle que le leader turc Nazim Bey avait promis (il y a 100 ans) l'extermination des Kurdes.
  Ces enseignants ont été privés de liberté ou carrément limogés.
• Le pouvoir s'arroge le droit, à tout moment,

  '- de saisir la direction, les biens et les équipements d'un quotidien, d'une radio ou d'une télévision.
  Il peut chasser les employés de ces médias; il peut même, si bon lui semble, les faire arrêter. -'
  Ce fut le cas notamment pour le grand quotidien Zaman. [ hebdo Aksion, Turquie, fév. 2 016]
  Précisément, ce sont les journalistes Dündar et Gül, dont la présidence a exigé la mise en prison.
  Ceq ui valut une amende de la Cour Européenne.
  

• en muselant Zaman, le seul reste d'opposition le parti musulman d' Erdogan contrôle 90% des médias du pays: l sera indéracinable.
• On rappelle que, en 2 015, la députée turque au Parlement de Bruxelles avait été interrogée sur les génocides.
  Elle a notifié que leur reconnaissance était 'une insulte à la Nation', 'ce qui est passible de prison'.
• En avril 2 016, une convention avec l'Un.E, qui la paye très cher, organise des retours de migrants en camps vers la Turquie.
  Mais les Turcs pourront alors librement entrer en Europe, sans même un visa.
  Ceci pourrait changer complètement les répartitions culturelles (Il y a 84 millions de Turcs) des pays européens.
• De plus, la Turquie exige 6 milliards d'euros [Tagezeitung, Berlin, 9 mars] pour la gestion des migrants.
  On sait déjà que ce 'retour' vers la source turque sera impraticable.

'- Il n'est pas facile d'être Arménien en Turquie. Pas plus que Kurde, Alélévi, homosexuel, objecteur de conscience, Juif, femme, ou simplement citoyen en édsaccord avec le Puvoir en vigueur.
Pour ceux qui tiennent à plus d'une de ces catégories, la vie est encore plus dure. Et cette liste est loin d'être exhaustive.
La diversité est réprimée, la liberté d'expression est bafouée. Une 'idéologie d'homogénéité' domine le pays. Cette idéologie est façonnée par un nationalisme, un islamisme et un autoritarisme mêlés de machisme et de patriarcat. -'