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1428 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1428 HI/GE/ Belgique Jacqueline de Bavière Dame_Reine Jacqueline de Bavière
© Histoire Générale: La Paix de Delft du 3 juillet.
Jacqueline de Bavière cède la Hollande, la Frise, la Zélande et le Hainaut au duc de Bourgogne.

En 1430, le Brabant, le Limbourg et Anvers y seront rattachés.

Delft est renommé pour sa faïencerie, puis sa porcelaine, son charme, ses canaux, son pont.
Et le peintre Vermeer de Delft.
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- Vita : Princesse de Bavière, héritière des Pays-Bas.
1236 HI/GE/ Inde Jalalat ud-Dîn Raziyà Dame_Reine Jalalat ud-Dîn Raziyà
© Histoire Générale: Inde.

Première mondiale? La fille de Malik Shams ud-Dîn Îltutmish devient sultane.
Elle règnera sur le Sultanat de Delhi, étendû au Gange, pendant 4 ans.
NdR: Ces souverainetés de femmes dans de grands pays musulmans surprennent parfois les Occidentaux.
Ces derniers ont cependant mis bien du temps à leur partager le pouvoir.
Mais dans les années 1 990 à 2 010, par exemple, des pays comme le Pakistan, l'Inde, le Sri-Lanka
ou le Bengla-Desh, puis l'Uzbékistan, eurent des femmes pour présidente musulmane.
À Delhi, cependant, en 1236, les nobles (candidats?) ont fait la gueule.
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- Vita : Sultane de Delhi de 1236 à 1240.
1350 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1350 HI/DY/ France Jeanne d'Auvergne Dame_Reine Jeanne d'Auvergne
© Histoire Dynasties: Fille de Guillaume XIII de Boulogne et d'Auvergne.
  • Jeanne d'Auvergne aurait d'abord épousé Philippe de Rouvres, duc de Bourgogne, [selon la Généalogie des rois et et reines de France de Wendtzel (op. cit)].
    NdR: Toutefois, Philippe 1er n'avait que 4 ans, Philipe II avait 7 ans, et le IIII est né 50 ans plus tard.
  • en 1350. Philippe III.
  • Elle épouse Jean II, roi de France, en 1350.
    Ce dernier était déjà veuf (qui l'a tué?) de Bonne de Luxembourg en 1349.
  • Elle sera reine de France 1350 à 1361; succédant à Blanche de Navarre, morte 30 ans après elle!
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- Vita : Épouse de Jean II (Fra) en 1350, reine de 1350 à 1361.
Née en 1326, * en 1361
1325 HI/DY/ France Jeanne d'Evreux Dame_Reine Jeanne d'Evreux
© Histoire Dynasties: Fille de Louis d'Évreux, elle est épousée par Charles IV en 1325. (Fra.).
Ce dernier avait 'épousé' la petite Blanche de Bourgogne (à 11 ans!), et Marie de Luxembourg, morte à 19 ans.
Jeanne d'Évreux a déjà 14 ans.
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- Vita : Épousée par le pédophile Charles IV (Fra.) en 1325. Reine de France de 1325 à 1328.
Née en 1310, * à Brie-Comte-Robert en 1371
1313 HI/DY/ France Jeanne de Bourbon Dame_Reine Jeanne de Bourbon et Bourgogne
© Histoire Dynasties: Fille du duc Robert II de Bourgogne Jeanne de Bourgogne est épousée par le Philippe VI de Valois (Fra.) en 1313.
Ce dernier sera roi de France et de Navarre de 1328 à 1350, premier de la dynastie des Valois
Jeanne sera dès lors reine de France de 1328 à 1348.
Elle est la mère du futur Jean II 'le Bon'

La dynastie passe aux Valois après la mort de Charles IV sans héritier.
Les barons ont élu Philippe, le neveu, pour éviter que le trône ne revienne au légitime Edward III d'Angleterre.
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- Vita : Épousée par Philippe VI de Valois (Fra.) en 1313. Reine de France de 1328 à 1348.
Née en 1293, * en 1359.
1350 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1350 HI/DY/ France Jeanne de Bourbon Dame_Reine Jeanne de Bourbon
© Histoire Dynasties: Jeanne est fille de Pierre 1er, duc de Bourbon, et d'Isabelle de Valois.
Jeanne de Bourbon est épousée par Charles V (France) en 1350.
Ce dernier eut affaire au Traité de Brétigny (1360), où son père Jean le Bon fut libéré des Anglais.
Jeanne est la mère de Charles VI, dit (à juste titre) 'le Fol'. Elle fut reine de 1364 à sa mort en 1377.
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- Vita : Épouse de Charles V (Fra) en 1350, reine de 1364 à 1377.
Née en 1338, * en 1377
1307 HI/DY/ France Jeanne de Bourgogne Dame_Reine Jeanne de Bourgogne
© Histoire Dynasties: Jeanne de Bourgogne est la fille du comte Othon.
est épousée par le futur roi Philippe V (Fra.) en 1307.
Ce dernier sera roi de France et de Navarre de 1316 à 1322, succédant à son frère Jean qui n'a régné que 5 jours.
Jeanne sera dès lors reine de France de 1316 à 1322.

Elle sera alors témoin des crimes de Philippe V, dans la lignée d'autres rois de France:
  • : Exactions contre les Juifs, pourchassés et bannis, tous leurs biens confisqués.
  • Développement de l'Inquisition, créée par Philippe II, pour exécuter les 'hérérétiques' et s'emparer de leurs biens, etc.
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- Vita : Fille d'Othon de Bourgogne, violée et épousée par Philippe V (Fra.)
Née en 1292, * en 1329.
1314 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1314 MO/SO/ France Jeanne de Bourgogne Dame_Reine Jeanne de Bourgogne
© Mouvements Société:   Adultères monarchiques
- - Info : Philippe IV lance encore ses armées contre la Flandre qui, cette fois, sera conquise.
Toutefois, Jeanne de Flandre était reine de France.

Mais ce qui plut beaucoup aux magazines "Pipole", ce sont les scandaleux adultères des trois belles-filles du roi avec les frères d'Aunay.
Ce sont Marguerite, Jeanne et Blanche de Bourgogne. La Bourgogne et la Flandre auront d'ailleurs bientôt leur couronne commune.
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- Vita : Belle-fille de Philippe le Bel (Fra.). Bonnes vie et mœurs... réparties.
1314 MO/SO/ Europe Jeanne de Bourgogne Dame_Reine Jeanne de Bourgogne (Bel.)
© Mouvements Société:   Tortures et supplices du Moyen Âge
- - Info : La charmante histoire des supplicié(e)s 'de par le roi' à la Cour de France (Tour de Nesle) sert ici de date pour une visite guidée de la torture et des supplices du Moyen Âge.

TORTURES

C'est depuis que dans l'Humanité s'est montée une "hiérarchie" (des Chefs, des 'plus-que-les-autres') que se défendent les Pouvoirs.
Et depuis la "propriété" que se défendent les possessions.
Par méchanceté et sadisme, bien sûr, mais aussi pour décourager toute opposition, les supplices sévissent en presque tous temps et Sociétés.
L'information serait très longue à trouver, mais certains peuples y semblent moins enclins que d'autres. Peut-être les Inuits? Les Ingoutches? Allez savoir.
Dans les peuples connus par leurs Écritures, il appert que les Juifs, par exemple, suivent leurs conseillers, philosophes, et ne pratiquaient pas (et certes pas entre eux) ces exactions.
Bien d'autres 'bon cas', lamaseries et autres 'sages' sont à citer, l'humanité n'étant pas que carnages.

Ici, le petit parcours se limite à la fascination qu'exercent les tortures médiévales : gravures, bandes dessinées, films, et récits en font la délectation.

Le contexte (ou la date de XVe siècle) ici est plutôt associé à la torture sous Louis XI de France, pervers, cruel et paranoïaque de la protection, préventive ou curative, de son Pouvoir
Vu les horreurs subies par les condammné(e)s on comprend que le crime était alors déconseillé.
On sait, descendant du car de tourisme, les châteaux-forts de Louis XI, ses cachots, cages de fer et chambres de tortures: ils sont renommés pour cela.
Et, bien sûr, les sbires de services en remettaient une couche.

Il y a bien sûr bien d'autres extensions à des inquisitions et autres contextes.
C'est le 'clou' de la visite du château-fort de Beersel (Bruxelles).
Du Mont-Saint-Michel (Normandie), plus ecclésisatique, dans des fonds ignobles; mais heureusement on vend des gros instruments de tortures dans les magasins.
En Lombardie les articles de ce sport relèvent des tyrans de Toscane Les Sforza; les Médicis.
Tolède et Valldolid, en Espagne, sont bien fournis, paut-être grâce à l'Inquisition espagnole, qui gagna de nombreux trophées.

Les quelques suivantes ne sont donc que dans les standards, pour l'érudition historique.

Les deux grandes composantes sont la "question" (vers l'aveu) et l'" expiation", laquelle désigne les supplices de la peine encourue.
Les deux répondent à des critères de qualité et de validité :
  • L'intensité et le temps de souffrances;
  • Le calibrage, selon le crime et le type de client (porter atteinte au roi est illimité);
  • Exclusions (femmes enceintes, jeunes enfants); dans le cas ecclésiastique, éviter les indécences publiques.
    Le peuple, en revanche, ne demande que cela, surtout si le client est une femme.
  • Rituel : il faut supplicier dans les formes prescrites; c'est une question de bienséance.

Le carcan de bois dur
Les carcans sont des blocs de bois présentant un trou pour la tête et deux pour les mains.
C'était une punition humiliante, dite légère, surtout appliquée aux voleurs; ces derniers étaient toujours des pauvres, qui manquaient de tout.
Une fois coincée, la victime devait circuler dans toute la bourgade.
Parfois une bonne âme venait lui trancher une main, ce qui est facile car elle passe par le trou.
Dans ce cas la victime mourait de la perte de sang.
Pour les femmes, cette prise servait plutôt pour les viols et les sévices collectifs commis par les soldatesques.

La chemise d'ivrogne
Un baril était défoncé d'un côté et percé de trous où le délinquant passait sa tête et ses deux mains.
Son corps, jusqu'aux genoux, était emprisonné à la place du vin qui lui avait fait commettre sa faute, et on le promenait, ainsi accoutré, dans les rues.
Plutôt que lui couper une main, on préférait le mouiller et le forcer à boire, le condammné étant alors enfoncé dans ses excréments.
Ceci amenait de nombreuses guêpes, insectes et vers qui le dévoraient patiemment.

La pirouette
La pirouette, c'était une grande cage de fer placée verticalement sur deux pivots, et exposée dans les carrefours et dans les camps.
On y enfermait surtout les querelleurs et les vivandières - donc femmes du peuple.
Tout passant pouvait faire tourner la cage, ce qui rendait folle, et aussi faire subir des méchancetés et humiliations.

Pilori
Le pilori était planté dans la cité, et le (la) client(e) y était ficelé, et exhibé(e) sur la place publique.
Chacun pouvait se régaler à lui faire subir des humiliations, des douleurs et sévices.

Les ordalies : La 'preuve' par le 'Jugement de Dieu'
Le principe de l'"ordalie" par exemple consiste à soumettre l'accusé à une épreuve physique.
S'il en sort indemne, cela prouvera sa bonne foi. Dieu l'aura innocenté.
  • La flottaison: S'il coulait, il était déclaré innocent, mais malheureusement noyé.
    S'il flottait, il était déclaré coupable et, de surcroît, encore disponible pour subir des supplices.
  • Tenir longtemps un fer rouge dans la main, ou plonger le bras dans de l'eau, ou mieux, de l'huile, bouillante.
    Ou marcher sur des fers et des charbons ardents.
    S'il en sortait indemne (en deux jours) et sans douleur, il était donc protégé par Dieu, qui seul pouvait lui éviter une telle souffrance.
    Il semblerait que qu'il n'y ait jamais eu d'innocents.

Chaise pendue
La chaise pendue évoque la langue pendue des femmes qui font circuler des commérages (lesquels sont souvent des vérités).
Si ses dires portent atteinte au mari ou à un édile, elle est ficelée à une chaise et trempée longuement et à répétition dans le fleuve, le plan d'eau.
Cette quasi noyade à répétée est très éprouvante, et fut largement utilisée ensuite par le maintien de la tête dans des bacs, par des sbires spolitiques ou militaires.
Cette torture ne laisse pas de traces sur le corps, donc sur la conscience des bourreaux non plus.

Brides et masques de fer
Il s'agit d'un casque de fer ajouré dans lequel la tête est enserrée très serré, et que la femme pénitente doit porter 12 heures dans le public.
Son crime est d'avoir dit des choses qui ont déplu: des balles lui sont, de plus, fourrées dans la bouche.
Pour l'efficacité, des balles étaient hérissées de clous - on dira un jour 'clouer la langue'.

Suffocation dans la boue
La suffocation progressive est une technique d'exécution pratiquée depuis longtemps.
Par exemple, des Indiens (Navajos?) attachaient au tour du cou de quelqu'un entravé sur une pierre une lanière de cuir mouillé.
Tandis que le corps abandonné cuisait au soleil, le cuir se tendait et donnait l'angoisse croissante de suffoquer, et finir, en quelques heures très pénibles, de s'étrangler.
Ce traitement était surtout appliqué au femmes, ou à un supposé traître.

Une star de la suffocation fut l'impératrice romaine Flavia Maxima Fausta (289 à 326), femme de l'empereur Constantin Ier.
C'est lui qui ouvrit Rome à a chrétienté - par influence de Fausta, justement.
Cette dernière, en bonne cougar, s'éprit de son beau-fils, Crispus, mais ce dernier la repoussait.
De dépit, elle l'accusa alors de trahison à Constantin, qui le fit mettre à mort.
Puis l'empereur apprit la vérité.
Il fit alors tremper sa femme par la tête en la plongeant à répétition dans un bain de boue bouillante.

Ensuite elle fut mise sur un grill et un brasier, mais ne grésilla pas non plus.
La Légende dorée rapporte que la martyre sainte Cécile survécut à la boue bouillante, et même au grill.
Faire suffoquer longuement dans la boue était plutôt une coutume burgonde que française.
Elle était appliquée aux femmes, pourchassées à cette fin, qui avaient quitté leur mari.

Toutefois, étouffer dans la boue était un sort courant chez les soldats.
Mal équipés, épuisés et souvent blessés, sans secours de chariots, ils crevaient dans des fossés et des trous.
Ainsi des vastes armées de Napoléon Ier, inadaptées aux campagnes de l'Est (1812), puis de Waterloo (qui eut lieu sous un déluge), 1916 sur l'Yser, et tant d'autres avant et après.

L'élongation
L'élongation consistait à étirer avec une rouelle la cliente sur une longue table de bois jusqu'à ce qu'elle se déchire.
Les tortionnaires n'hésitant pas à couper les muscles pour éviter une trop rapide dislocation.

La Roue
La roue consistait à d'abord attacher le supplicié sur une croix de Saint-André.
Elle était creusée d'encoches profondes de façon à ce que certaines parties des membres soient placées sur ces vides.
Le bourreau frappait alors à ces endroits de manière à briser les os à l'aide d'une barre de fer.
Bras, avant-bras, tibias et fémurs étaient tour à tour fracassés, pour finir il défonçait la cage thoracique.
Le supplicié hurlant et cassé de partout était alors attaché sur une roue fixée en haut d'un poteau, bras et jambes brisés pendant dans le vide.
La face était tournée vers le ciel "pour y faire pénitence".
Si bien pratiqué qu'on dit encore 'roué de coups"

Torture avec de l'eau
La torture de l'eau à faire absorber au client attaché de grandes quantités d'eau, ou pire, du vinaigre, de manière continue.

Le Grill Lier la cliente les membres écartés sur une grille en fonte au-dessus d'un brasier.
Plus le brasier est modéré, plus la cuisson se fait très lentement.
La Légende dorée [de Morangie, XVe s.] rapporte que la martyre sainte Cécile, après la boue bouillante, serait la seule survivante à ce supplice.
Ce type de traitement ne fonctiona pas non plus, et (la future) Sainte Cécile devint patronne des musiciens, en partenariat avec la muse Erato.

Les fauteuils à clous et les armures-étau avec clous intérieurs
Une vaste de gamme d'instruments permettent à de longs clous de s'enfoncer progressivement en tous les points du corps.
Aussi, des casques spéciaux serrent progressivement et enfoncent des clous à travers la tête et les yeux.
Il existe de nombreuses gravures (voir le Net, très instructif) de cette variété d'instruments, y compris le serrage dans une armure complète.
Des lieux touristiques - ceux à châteaux - ont beaucoup de succès à faire visiter ces chambres de tortures et les instruments.
Au Mont-Saint-Michel (Fra.), par exemple, bien des magasins présentent à vendre des instruments de tortures refaits (Made in China?), souvenirs de vacances.
Bien sûr, il y a des Belges qui demandent si on peut les essayer.
En Lombardie, patrie des tyrans Sforza et di Medici, et aussi à Tolède en Espagne, cela fait partie des produits locaux (bios?).

Le Garrot
Le garrot fut aussi une spécialité aussi des Amérindiens, lesquels attachaient une lanière de cuir autour du cou d'une victime mis à cuire au soleil sur une grande pierre
Le cuir se tend en séchant et l'étouffement continu peut tenir deux jours et nuits d'angoisse.
Préféré sur les femmes, car cela les abime moins que le poteau de tortures.

L'empalement
L'empalement, déjà très ancien (tels les partisans du révolté Spartacus), consistait à enfoncer un pieu de bois par le fondement du condamné.
Puis il est redressé et le pieu est planté en terre et le laisse s'empaler tout seul à travers tout le corps par les convulsions qui l'agitaient.
Un roi glorieux de Valachie porte d'ailleurs le sobriquet dérisoire de l'Empaleur.

Le bouc des sorcières et la massole
Le bouc des sorcières est un supplice est une forme raffinée de l'empalement, pour les Dames, mais qui donnait la mort plus lentement.

La cuisson
Une gravure ancienne publiée sur Net montre une jeune femme dénudée jusqu'au bassin 'trempant' dans un vaste chaudron sur un brasier.
Il va de soi qu'elle est cuite progressivement depuis les pieds puis les jambes, pour finir en bouillie.
Dans les punitions d'hérésie, le bûcher était parfois remplacé par le 'four', bien plus cruel, une cellule de briques fermée et posée sur le feu.
C'est montré dans le célèbre film Au nom de la Rose, avec Sean Connery.
Le pire reconnu est dans un film passé à la TV, à l'action située en Afrique du Sud, où quatre européens, dont une femme, font un safari.
Ils aurainet malencontreusement blessé un indigène et toute la tribu s'empare du groupe pour les torturer.
C'est le supplice du 'porc'. Le client est dénudé et entièrement 'plâtré' d'argile, avec une grosse tête de porc dont le groin pour voir et respirer.
Puis il est embroché vif et tourne au-dessus du brasier, où, effroyablement dans sa gangue durcie, il cuit par petits morceaux.
Ce film a été interdit tellement cette épouvante donna, paraît-il, des cauchemars inoubliables à ses spectateurs.

L'ébullition
L'ébullition était, paraît-il un privilège accordé aux faux-monnayeurs, qui étaient jetés ligotés dans l'huile ou l'eau bouillante.

Le fouet, la flagellation
En latin, le "flagellum" est un fouet (en anglais 'whip'). Bien connu des esclaves noirs, et des marins.
Mais elle peut se donner avec, le 'chat à neuf queues' ou encore des lanières équipées d'objets propres à déchirer les chairs jusqu'à laisser apparaître les os.
C'était la punition préférée, car elle donnait un (bon?) prétexte pour exhiber le corps féminin.
Les Inquisiteurs étaient renommés pour leur penchants prononcés en la matière.
Dans le civil, le public était appelé au spectacle. La femme dénudée était pendue par les poignets, de façon à bien exposer le corps.
Une autre version est de la renverser sur un chevalet exprès pour présenter le derrière à frapper.
On poursuit alors par l'exposition publique au pilori, où on frappe le devant du corps.
Dans certains cas, des membres de l'assistance pouvaient également la frapper.
Dans un film des Balkans (Kosovo?), des prisonnières doivent passer nues entre deux rangées de soldats qui chacun leur donne un coup de fouet.
Dans la série Game of Thrones (2 016), une femme est projetée nue dans un public haineux et armé de fouets.

Le 'caning', qui frappe sur le derrière et sa petite culotte avec une canne, est spécialement apprécié par les écolières anglaises.
Toutefois, en Grande-Bretagne, la canne et le fouet ont été tous deux abolis en ... 1948.
La flagellation des femmes reste (2 017) de mise dans le monde pratiquant un islam rigoureux - c'est le cas de le dire.

L'écartèlement
Cette peine en France était réservée aux pires criminels : lèse-majesté.
Après avoir tenaillé la victime au gras desjambes, des bras et des mamelles on versait sur ces plaies ouvertes du plomb fondu, de la poix mêlée de cire et de résine enflammées, et de l'huile bouillante.
Puis on brûlait la main droite au souffre avant de la couper, et on attachait les quatre membres du supplicié à des chevaux qui le démembraient.
Pour faciliter l'opération le bourreau cisaillait parfois les muscles et les tendons.
La somptueuse reine Brunehaut d'Austrasie (VIIe s., en actuelle France,) à 60 ans, finit écartelée après que tous ses os eussent été brisés sur les pierres.
C'était pour assouvir la jalousie de Frédégonde, la maîtresse du roi de Neustrie.

La décapitation
La décapitation était une peine de mort élégante, réservée aux nobles. Voir la Terreur de la Révolution française.
La pendaison (souvent pour vol) ou la "hart" était la peine de mort donnée aux non nobles.
Un vieil adage de droit français dit '- La hache au noble, la hart au vilain -'.

Considérant qu'une femme au bout d'une corde aurait offert un spectacle bien indécent c'est l'enfouissement vive qui leur leur était réservé

L'écorchement
L'arrachage de la peau de tout le corps.
Il existe un grand tableau, très émouvant, qui a pour titre L'écorchement du juge prévaricateur

En France, sous le roi Charles VII (XVe s., contre les Anglais), sévissait une soldatesque appelée Les Ácorcheurs.
Commandés par des nobles, dont Antoine de Chabannes.
Vu leurs talents, ils furent intégrés dans l'armée royale française.

Le bûcher
Rien de tel que le feu, partout et toujours, pour purifier tout, ainsi que les corps et les âmes.
Il y en eut plein partout, bien en vue et devant les Pouvoirs.
En France, les grandes séries furent les Cathares (Phil II), les Templiers, les Gueux et autres hérétiques.
Tous ces damnés avaient en commun d'être des créanciers du roi en fonction à l'époque.
On les disait aussi dépositaires d'un ou des trésors, à avouer.
Bien que souvent créanciers, les Juifs n'étaient pas - tant mieux! - considérés comme des 'hérétiques'.
Il y a lieu de croire que la confraternité doctrinale et historique avec la chrétienté est reconnue.
Les Juifs devenus riches étaient expulsés, bannis et, partant, leur biens confisqués.

Les immersions
Par noyades lentes, mais, de préférence, dans de l'huile bouillante, surtout le tête en bas.

Les fers brûlants
Le traitement par les fers était depuis toujours appliqué aux esclaves, pour les marquer comme le bétail.
Mais il fut généralisé aux supplices de l'aveu, qu'ils soient laïques ou ecclésiatiques.
Il paraît que l'enfoncement d'un mince fer rouge par l'oreille était le plus efficient.

Les mutilations diverses
Les mutilations étaient très répandues au Moyen Âge, et arrachaient diverses parties du corps.
Les plus courantes sont les mains, les pieds (des appareils spéciaux en bois avec étau permettaient de serrer ces membres pour les couper plus facilement).
Les oreilles, la langue, les lèvres, le nez, les seins et les organes génitaux - bref, ce qui dépasse (si possible)

C'était surtout en Angleterre (souvenir des Vikings?), lors des débuts de l'Anglicanisme religieux, que cet humour très british était populaire.
Ainsi, on arrachait les oreilles des pamphlétaires qui attaquaient le clergé anglican, sous William Laud, l'archevêque de Canterbury.
Les auteurs célèbres qui bénéficièrent de ce traitement de faveur furent le Dr. Alexander Leighton (en 1 630), John Bastwick, Henry Burton and William Prynne (en 1637).
En Écosse, à Coventer ce fut le sort aussi de James Gavin of Douglas of Lanarkshire, mais pour leur refus de renoncer à leur foi.
On voit que les Britanniques avaient une autre approche, déjà plus civilisée.

Avec beaucoup de prévenance, on tentait d'éviter à un condamné à qui on avait coupé un membre, de développer une déplorable infection.
À cette fin, on lui appliquait tout de suite à vif une plaque de fer rougi, laquelle, de surcroît, bloquait l'hémorrhagie.
Pas celle des hurlements, of course.

Le Sciage
Le sciage était une méthode de torture conduisant à la mort, donc l'exécution. Plusieurs gravures anciennes explicites en sont sur le Net.
Pour les hommes, le client était dénudé et pendu la tête en bas, et les jambes très écartées.
Les scieurs se placent alors de part et d'autre, et le traitent comme une bûche.
Les deux (douces?) moitiés se séparent progressivement, jusqu'à ce que le cœur sont mortellement atteint.
Pour les femmes, l'imagerie montre qu'on les attache à califourchon sur une poutre dont l'arête du dessus est en triangle très tranchant, et des poids sont attachés aux pieds.
Le corps se sépare alors en deux à partir du vagin, et progressivement via les autres organes.

Poires
  • La plus courante est la 'poire d'angoisse' que l'on écarte dans la bouche jusqu'à la limite constante de la suffocation.
  • En faveur des femmes, on introduisait des poires écartantes dans le toujours présumé coupable vagin, jusqu'à déchirer les tissus et organes.
    De la sorte, si elle y survivait, elle ne pourra plus se servir de rien.
  • La punition pour les homosexuels était l'enfoncement de poires déchirantes dans l'anus. Très inconfortable.

L'estrapade
L'estrapade consistait à attacher la victime et la hisser en haut d'un poteau ou du plafond avec une poulie, parfois avec des poids suspendus à ses pieds.
Le corps se déchirait lorsqu'on la relâchait brutalement.
Plusieurs variantes existaient (bras dans le dos, corde attachée à un seul poignet, etc.).
Une gravure ancienne sur le Net montre une jeune femme traitée ainsi dans une tour, avec une pointe de fer très acérée sous le pied porteur.
Ce type de torture, par référence aux lieux où elles étaient pratiquées, s'appellent en anglais "dungeon" - donjon évidemment.
La Tour de Londres était un lieu très bien fréquenté de la sorte.
En France, la Tour de Nesle était parmi les plus sinistres de ces établissements - mais surtout pour celles et ceux qui avaient déplu à leurs Majestés.
Dans le cas des marins, le condamné étant alors précipité depuis une vergue.
À Paris, l'estrapade était un spectacle public très prisé.
Il était infligé place de l'Estrapade, notamment à de nombreux protestants (XVI et XVIIe s.) lors de leur persécution.

L'Écrasement
Un grand socle couvert progressivement d'énormes pierres écrase progressivement le client.
On entend tout craquer peu à peu, en dernier lieu la tête.

Les grésillons
Les grésillons sont une sorte de menottes rougies au feu

Les rouleaux à épines Gagnants du concours Lépine?

Le masque de la faim
La tête enfermée dans un masque en étau, tout près d'un feuilleté de turbotin à la mousseline italienne criblée au caviar.

      *****
Les tortures laïques se développent particulièrement dans les villes médiévales, à partir du XIIIe s. En France, c'est sous Philippe-Auguste.
Elles ne peuvent y être exercées que par le bourreau, qui pouvait se faire assister.
Le clegé 'régulier' ne salissait pas son âme à de telles pratiques, mais sans pour autant se priver d'une telle série télévisée.
L'exécutoire était confiée au 'régulier' où même géré, comme ce fut le cas de Jehanne d'Arc, par le 'civil'.

Des études nous disent cependant que tortures et supplices, surtout sur les femmes, fascinaient les gens, mais étaient en réalité atténués par les tribunaux.

'- Ils trouvaient bien des moyens pour tourner les rigueurs de la pénalité régulière,
soit en refusant de poursuivre des infractions trop lourdement punies, soit en modifiant la qualification du crime.
[…] De toute façon, la majeure partie des condamnations portait soit le bannissement soit l'amende -'.

NdR: Il restera toujours, néanmoins, la maxime universelle de Fracis Bacon (v. 1 630), le N°1 de la philosophie de Société :

'- Rien de modéré ne saurait plaire à la foule -'

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- Vita : Belle-fille de Philippe IV (Fra.). Bonnes vie et mœurs... réparties.
1214 HI/GE/ Belgique Jeanne de Flandre Dame_Reine Jeanne de Flandre
© Histoire Générale: Pays-Bas-Sud .

Bataille de Bouvines, perdue par la Flandre contre Philippe II de France, écœuré de ses échecs antérieurs.
Ferrand de Portugal, mari de la comtesse Jeanne, est prisonnier jusqu'en 1233.
Jeanne doit faire raser ses forts, à Ypres, Audenarde, Valenciennes et Cassel.
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- Vita : Comtesse de Flandre, en luttes contre la France.
1218 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1218 AR/EP/ Belgique Jeanne de Flandres Dame_Reine Jeanne de Flandres
© Architecture Ar_Publique:   Hôtel de Noble Cour à Kassel (Flandres).
- - Info : Kassel est une des collines 'isolées' de Flandres, de 176m., comme le 'Mont Kemmel', etc.
Elle est repérée comme un 'burg', un site fortifié des 'anciens' belges.
L'actuel chemin de ronde (c'est devenu une citadelle) garde des traces celtiques.

Jeanne de Flandres
1071 le comte de Flandre Robert le Frison y battit le roi de France Philippe 1er.
1218 Il est attesté qu'en 1218 la comtesse Jeanne de Flandres prit possession de l'ambacht de Kassel.
Elle en fit une vierschaere principale, une 'cour de justice' en français.
Les autres étaient, alentour, Steenvoorde, Haezebroek, Renescure, Bavinchove, Ebblinghem, Bollezeele, Wydebroek.
Cela faisait un vaste territoire.
XVIe
au XVIIIe s.
ces Pays-Bas seront de la maison des Habsbourgs.
La 'Noble-Cour' est reconstruite selon une architecture inspirée de la Renaissance italienne.
1631 L'hôtel de ville est détruit par un incendie, et l'hôtel accueille les édiles.
Toutefois, comme il faut faire 'justice', la salle de tortures et son 'pynbank' sont bien conservés.
Pijn signifie 'douleur' en flamand.
Un 'pynbank' est le banc sur lequel ont fait subir les supplices.
La cave garde des traces (et instruments) des atrocités qui rendent les hommes plus 'justes'.
1 640 Une gravure de 1 640 montre une vaste citadelle, avec sa cathédrale, remparts, moulin, et une vue infinie.
Le moulin se visite encore. La vue infinie aussi.
XVIIe s. La cour était composée de 12 membres renouvelables, nommés par le gouverneur
1677 Kassel sera conquise par l'armée de Louis XIV, sous la conduite de d'Orléans.
Puis la région sera rattachée à la France en 1678.
La haute tour sera rasée pour aplatir la puissance de la Flandre et des Habsbourgs.
Les cours de justice seront supprimées.
1790 Après la révolution française de 1789, le vaste hô,tel sera pour partie loué.
Occupé par des édiles, puis loué à un aubergiste.
1 900 Le Noble Cour devient un arrêt de tramway. On reste quand même en Flandres!
1 910 C'est, parmi l'ensemble très touristique du vieux Kassel, un monument historique depuis 1 910.
2 008 Parkings pour autocars, Mmusée départemental de Flandre très bien rénové.
Une belle visite, très sympa et instructive.

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- Vita : Comtesse de Flandres, 1210. Promotion de la cité de Kassel.
1348 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1348 HI/VL/ France Jeanne de Naples Dame_Reine Jeanne de Naples
© Histoire Ville_Liste: Le territoire d'Avignon fut remis au Royaume d'Arles.
Ceci après l'intervention de Charles Martel contre les Sarrazins.
Ce territoire revint ensuite au comté de Provence.

1306 :
  Des papes dissidents avaient squatté une partie de la ville.

1348 :
Le pape Clément VI rachète la cité et son territoire à Jeanne de Naples qui est une Anjou Avignon restera sous une légation papale, et finalement annexée à la France en 1797
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- Vita : Comtesse de Provence, à l'épopée tumultueuse. Venderesse d'Avignon au pape.
1382 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1382 HI/AS/ Italie Jeanne de Naples Dame_Reine Jeanne de Naples d'Anjou
© Histoire Assassinat: Il y a de nombreux problèmes conjuguaux avec des Jeannes, mais c'est parce qu'il y a beaucoup de Jeannes.
Les Gaudebonde, par exemple, sont moins invasives.
Jeanne de Naples, toutefois, est tout un téléfilm (et une tragédie de Mistral).
Quelques espiègleries de Jeanne, reine de Naples, multiveuve.
1326 Naissance de Jeanne à Naples.
1343 À 13 ans Jeanne succède à son grand-père Robert d'Anjou.
1345 Elle a épousé Andrezj de Hongrie - qu'elle songe à assassiner.
1347 Jeanne est effectivement accusée d'assassiné son mari. Le frère, le puissant Louis de Hongrie, n'est pas content.
Elle se doit se réfugier en Provence.
1346 Après avoir tué le Hongrois, Jeanne épouse en 1346 Louis de Tarente, qui a 26 ans et devient roi de Naples et, en 1346, comte de Provence.
La rumeur le dira tué par Jeanne en 1362.
1347 Jeanne séduit le pape Clément VI, qui, comme son nom l'indique l'innocente.
Jeanne fait alors un beau geste: elle vend au pape Avignon, qu'elle ne possède d'ailleurs pas, et empoche le fric.
1362 Mort aux causes imprécises de l'heureux époux, Louis de Tarente - en tout cas pas de vieillesse.
Mais est vrai qu'il défendit son royaume de Naples contre les Duras/i>.
1362 Dès que Louis est bien au froid, elle épouse Jacques III de Majorque
1370 Elle désigne comme héritier Charles de Durazzo , celui qui combattit (et tua?) son mari à Naples.
Charles est 'fils adoptif' de Jeanne (qui n' que 19 ans de plus).
Charles III deviendra roi de Naples en 1381, puis de Hongrie en 1385.

Charles assassinera sa mère Jeanne, mais sera tué par la veuve de Louis.
1375 Mariage de Jeanne avec le puissant Othon de Brunswick. Ce qui inqiète le fils héritier désigné Charles III de Naples.
1376 DAns les conflits papaux, Jeanne prend parti pour son locataire puis acquéreur à Avignon, le pape Clément VII.
Celui de Rome, Urbain VII, pas content, donne l'investiture du royaume de Jeanne à Charles III de Durazzo.
1382 Bien motivé, soutien papal, Charles conquit le royaume de Naples.
Il étrangle sa généreuse mère Jeanne, dont la carrière multi-affecteuse s'éteint de la sorte.
1386 Charles III, le fils matricide, est assassiné - chacun son tour - dès 1386 par la veuve de Louis de Hongrie.
1890 Le grand poète félibrige du Languedoc, Frédéric Mistral, écrit une tragédie sur la reine Jeanne.

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- Vita : Reine épopique de Naples, Comtesse de Provence, de 1343 à 1382. Venderesse d'Avignon au pape.
Née à Naples en 1326, * étranglée à Aversa en 1382.
1341 HI/GE/ Bretagne Jeanne la Flamme Dame_Reine Jeanne la Flamme de Montfort
© Histoire Générale: Bretagne

Le duc Jean de Montfort s'empare d'Auray (sur le Gofe du Morbihan) et de Nantes.
. Il est fait prisonnier par le roi Philippe VI, puis il est libéré contre rançon en 1343.

La Cour du roi de France réunie à Conflans désigne officiellement Charles de Blois comme le duc de Bretagne (en fait 'gouverneur').
Ce sera donc lui qui sera visé par les autonomistes bretons, mais il est armé par le roi de France.
Durant la détention de Jean de Montfort, c'est sa femme, Jeanne la Flamme, qui défend victorieusement Hennebont (proche de Lorient) contre Charles de Blois.

Une armée anglaise, de tradition contre la France, vient au secours de Montfort en juin 1342.
Toutefois, l'armée de Charles de Blois, sponsoriée par le roi de France, s'empare d' Auray (en 1342), de Vannes, de Guérande (le bon sel) et de le Croisic - quasi le Morbihan.

La trêve franco-anglaise signée à Malestroit le 19 janvier 1343 pour trois ans est rapidement rommpue.

Toute cette période, depuis 1320, et pendant plus d'un siècle, est victime des conflits et guerres.
Le fond est toujours l'acharnement de la Couronne de France à s'emparer des suzerainetés de l'Angleterre, couvrant un tiers Ouest de la France.
Dite 'guerre de cent ans', elle implique des obligations féodales de comtes et ducs bretons, et aussi leur rejet de l'autorité française.
Les alliances des seigneurs - sauvant leur fief - vont ici ou là, ce qui implique des rivalités entre eux.
Ces 140 ans de conflits, ravages des soldatesques, incendies par les troupes royales françaises et rivales, ont meurtri la Bretagne.
Des chevaux de guerre comme Du Guesclin relanceront les sauvages hostilités.

Jeanne la Flamme, quant à elle, a courageusement sauvé les meubles de son mari emprisonné.
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- Vita : Épouse du duc Jean de Montfort emprisonné. Elle prend le relais contre les troupes de Charles de Blois
1430 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1430 HI/GE/ France Jehanne d'Arc Dame_Reine Jehanne d'Arc
© Histoire Générale: Jehanne d'Arc avec La Hire avaient joué un rôle décisif dans la libération d'Orléans en 1429.
En fait, une simpl garnison anglaise; les gens pouvaient d'ailleurs entrer et sortir pour leurs élevages.

Jehanne, blessée à Compiègne, sera capturée par un mercenaire au service du duc de Bourgogne, Jean de Luxembourg.

Tenue en réclusion par le roi de France pour éviter qu'elle n'attise le conflit Bourgognes-Armagnacs.
Avec réticence, elle sera vendue aux Anglais pour 10 000 livres.
L'Inquisition de France, basée à la Sorbonne (Paris) la défère devant le tribunal d'Inquisition de Rouen.
Elle subira un procès pour hérésie et relapse, et sera brûlée vive en 1431.
Elle sera réhabilitée en 1456.

Devenue un des symboles héroïques des Français contre les Anglais
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- Vita : Née en 1412 à Domrémy (comté de Bar). Condamnée par l'Inquisition.
Elle s'est éteinte en 1431, environ deux heures après sa mort.
686 HI/GE/ Japon Jitō Dame_Reine Jitō
© Histoire Générale: Début de l'ère Shuchō au Japon, avec quelques bisbrouilles violentes.
À la mort de son mari l'empereur Temmu, l'impératrice consort Jitō prend le pouvoir à la place de son fils le prince héritier Kusakabe, jusque 697.
Le prince Ōtsu, fils du célèbre empereur Tenji, est arrêté avec une trentaine de personnes soupçonnées de complot.
Il se suicide avant d'être exécuté avec les autres par belle-maman.
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- Vita : Impératrice du Japon. Un peu autoritaire. * en 697.
2010 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
2010 HI/GE/ Afrique_Ouest Johson-Eleaf Dame_Reine Ellen Johson-Eleaf
© Histoire Générale: Libéria .

Pendant des années, le NLibéria est resté un État de 'non-droit', en proie à des bandes armées.
Bien que les ressources (pétrole, etc.) y soient considérables, ce sont des camps, la faim et la misère.
L'ONU constate que les élections ont pu se dérouler, la présidente Ellen Johson-Eleaf est installée.

Le partage avec les pouvoirs musulmans n'et pas encore clair mais le pays s'établit.
Il est reconnu que ceci est largement dû à l'aide (via l'ONU) d'un régiment d'élite ukrainien aéroporté.
Militaires experts munis d'hélicoptères, atteignant toute région dans des conditions très difficiles.
Restent bien des problèmes, dont la recherche de nourriture.
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- Vita : Présidente du Libéria. 2 0120.
187 HI/GE/ Gaules Julia Domna Dame_Reine Julia Domna
© Histoire Générale: Julia Domna est une princesse syrienne, la fille du grand prêtre d'Émèse Julius Bassianus.
Elle épouse Septime Sévère, qui en est à ses secondes noces.

Septime Sévère est nommé Légat de Gaule lugdunaise ('lyonnaise'), en 187-188.
Ce quart des Gaules commence à Lugdunum ('Lyon') et comprend les territoires entre la Seine et la Loire.
Donc y compris la baie de la Somme (frontière belge) et toute la Bretagne (de France actuelle).
Jusque Portus Namnetus, au sud de laquelle commence l'Aquitaine.
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- Vita : Seconde épouse de Septime Sévère, noces de 187.
1651 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1651 HI/AS/ Proche-Orient Kösem Dame_Reine Kösem
© Histoire Assassinat: Assassinat de la régente ottomane Kösem .
Une femme régente du grand empire turc est unique en son genre (féminin).
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- Vita : Régente de l'empire ottoman, assassinée en 1 640.
2012 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
2012 MU/ZA/ Asie Karimova Dame_Reine Gulmara Karimova
© Musées Divers_Arts:   Fund Forum et partenariat avec Le Louvre (de Paris)
- - Info : Le Fund Forum, créé en 2 004, est une fondation du mécénat de Gulmara Kaimova, fille d'Islām Karimov.

Ce Fonds signe en 2 012 un partenariat notamment avec le Musée du Louvre (Paris), en faveur de
'- faire revire l'héritage spirituel et les traditions nationales de la nation ouzbèque -'.
Avec Le Louvre, la coopération concerne

'- l'archéologie, la restauration, les antiquités orientale et l'art islamique -'.

Toutefois, il y a des réticences.
Islām Karimov est depuis 1 991 élu dictateur d'un des pays les plus répressifs du monde.
Visé par les Droits de l'homme, accaparant tout pour son clan, intransigeant.
Gulmara a ainsi une fortune colossale, en plus d'être une 'star' internationale.
Surprenante (et contestée dans son pays) ambassadrice d'un pays musulman, toute en bijoux et 'Jet Set'.

Le Fund Forum a aussi des accords avec le British Council et la fondation G. Komen (des EU, contre le cancer du sein).

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- Vita : Fille du dictateur-président d'Ouzbékistan.
Star richissime, somptueuse et contestée. Née en 1972.
1763 HI/GE/ Russie Katarina II Dame_Reine Katarina II Romanov
© Histoire Générale: Katarina II est dite (en France) 'la Grande'.
Sans doute parce parce que, par un coup d'État, elle détrôna son frère Piotr III.
Dans le même élan, elle l'assassina, et s'empara du trône, ce qui fit sa 'grandeur'.
C'est une princesse allemande de caractère, et dont les amants en ont aussi (il en fallait).

Son long règne (1762 à 1 796) est certes marqué d'événements importants, tels que :
  • Assassinat de son frère Pierre III;
  • Abolition de l'obligation de service pour les nobles;
  • 1764 : Suppression de la fonction de hetman;
  • Sécularisation des terres monastiques (ce qui veut dire qu'elles ne relèvent plus des ordres 'réguliers')
  • Renforcement des privilèges de la noblesse, dont les exemptions d'impôts.
    Cette largesse lui valut une 'Cour' tout à sa dévotion.
  • Extension et renforcement du servage.
  • Elle même 'autodidacte', sans formation de base, elle attire des personnalités renommées du monde de la culture.
    Travaillant ses relations, elle acquiert, surtout en France où ce look est prisé, un statut de Grande Dame cultivée.
  • Un début d'organisation en divisions administratives.
  • 1775 : Fin de l'épopée de Pougatchev le Chef cosaque rebelle, issu de la steppe.
    Il visait l'abollition du servage, de la cruelle police politique, des privilèges etc.
    Plusieurs peuples ou 'tribus' le soutenaient.
    Et, avec ses 30 000 Cosaques, il dominait de Ekaterinbourg (Oural) à la Géorgie (Mer Noire), et visait même Moscou.
    Les Oudmourtes (région de Perm) participèrent à cette vaste révolte.
    Ekatarina confia une grosse armée à Mikhelson, et mit la tête de Pougatchev à prix.
    Trahi, Pougatchev fut amené dans une cage de fer par Souvorov, épouvantablement torturé, puis exécuté.
    Ekaterina fit massacrer tout ce qui l'aurait soutenu; les Oudmourtes furent noyés dans leur sang.
  • Intégration de l'Ukraine à la Russie.
    1 783 : Extension du servage à l'Ukraine. (Sud)
    Acquisition de la Volhynie, et Podolie (Nord).
  • 1790 A.N. Radichtchev écrit Voyage de Saint-Pétersbourg à Moscou.
    Premier pamphlet contre le servage. L'auteur sera d'ailleurs arrêté.
    Katarina avait exigé de durement persécuter les intellectuels libéraux.
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- Vita : Impératrice de Russie de 1762 à 1 796. Grande Cour, somptuosités d'apparat, autorité, conquêtes et persécutions.
397 MO/FI/ Inde Khãli Dame_Reine Khãli
© Mouvements Philosophie:   Culte de la déesse Khãli
- - Info : Inde

Le nom de l'auteur dramatique Kãlidãsã signifie en sanskrit Le Serviteur de Kàli.
Elle est une des épouses (Sàkti) de Shiva.
C'est la danse de cette divinité (parfois sous la forme de Vishnou) qui mène le monde.

Mais Khàli ('La Noire') est la forme épouvantable de Devi, la Grande déesse.
Surtout au Bengale, elle est honorée par des sacrifices sanglants.
Son culte est emblématique des rituels le plus cruels.

Les pièces de théâtre de Kãlidãsã garderont ces mystères encore le 22 déc. 2 019 à 17h 23.
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- Vita : Une des Sikta de la divinité Shiva.
Honorée aux Indes (Bengale) par des sacrifices cruels et sanglants.
2012 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
2012 HI/CV/ Amérique_Sud Kirchner Dame_Reine Cristina Kirchner
© Histoire Civilisation:
Pétroleuse argentine ?
1992 La compagnie pétrolière d' Argentine, YPF, a été privatisée.
1 999 Elle fut rachetée par le groupe espagnol Repsol.
2 001 Dans le cadre de la déroute financière, l'Argentine bat un ubuesque record: 5 présidents en 1 semaine.
2 012 Le Gouvernement argentin dirigé par Mme C. Kirchner veut reprendre le contrôle de cette compagnie.
Cela fait un tollé en Espagne (quasi en faillite).
Mais les arguments des Argentins n'y sont guère exposés.

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- Vita : Dirigeante de la République argentine.
1917 MO/FE/ Russie Kollontaï Dame_Reine Alexandra Kollontaï
© Mouvements Féminisme:   Première femme ministre de l'Histoire (Russie)
- - Info : Alexandra Kollontï est généralement citée comme pionnière de la révolution sexuelle (le 'féminisme' est antérieur, et moins ciblé).
Commissaire du Peuple à l'assistance publique dans le gouvernement bolchevique dès novembre 1 917, le mois suivant de la révolution russe, elle la première ministre de l'Histoire.

Elle préconisait (et pratiquait) la bigamie et la polyandrie. Pour elle, '- pour une communiste, l'acte sexuel doit être aussi simple que boire un verre d'eau -'.

À propos de bigamie:
en Grande-Bretagne, un homme accusé de bigamie a été acquitté: son avocat a pu démontrer qu'il avait trois femmes. [rapporté par G. C. Lichtenberg]

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- Vita : Commissaire du peuple (première Ministre) en 1 917 et 1 918 en Russie.
Visage fin et très beaux yeux. Née en 1872, * en 1 952.
1000 AR/GC/ Amérique_Sud Kon Tiki Dame_Reine Kon Tiki Viracocha
© Architecture Ar_Génie_civil:   Cité du Soleil (Bolivie)
- - Info : En Bolivie, la civilisation Tiwanakuérige la Cité du Soleil, en Tiahuanaco, région du plus haut la du monde, le Titicaca.

Cette Cité est le lieu de célébration du dieu créateur Kon Tiki Viracocha.

Le Kon Tiki sera au XXe s. le nom du radeau primitif qui traversa le Pacifque pour montrer des migrations possibles.

La Città del Sole (Cité du Soleil) sera le nom d&un régime utopique, absolument communiste, créé en 1623 (en prison) par l'esayste Campanella

Ce sera aussi une grande communauté de misérables de Calcutta (Inde), où au XXe s. se dévouera Sœur Teresa (Prix Nobel 1 979).
1298 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1298 HI/GE/ Balkans Korçula Dame_Reine Korçula
© Histoire Générale: Batailles navales au large de la côte de Dalmatie (Croatie), entre Venise et Gênes (1298).

Ces rivalités sont issues notamment des transports des Croisades.
Elles affaiblissent les flottes des villes-États d'Italie par rapport à celles des Musulmans.
Ainsi, ces derniers prendront la dominance de toute la Méditerranée.
La France, assez réduite à ses régions royales centrales, n'avait quasi pas de flotte.
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- Vita : Nom emblématique de la jeune fille croate enlevée par les Sarrazins - mais lequel?
-1245 HI/CV/ Grèce Léda Dame_Reine Léda
© Histoire Civilisation: Début probable de la civilisation de Sparte, dans son ère 'légendaire' en tout cas.
La région (sur le Taygète était habitée à l'époque mycéenne ('de Mycènes') par la Achéens.
Les récits d'Homère (Iliade, etc.) en font le royaume de Ménélas, générateur de la 'Guerre de Troie'.

Cette région fut submergée par l'invasion du peuple des Doriens.
La cité de Sparte se formera pllus tard (au -VIIIe s.) par la réunion de quatre villages doriens.
Elle conquerra les plaines de Messine et deviendra puissante.

Dans les légendes spartiates antiques, le roi était Tyndare. C'est lui qui cèdera son royaume à ce Ménélas.

Mais c'est l'épouse de Tyndare, Leda, qui nous intéresse.
Elle commit une des plus remarquables adultères de l'histoire(?) - qui en est fertile.
Elle le commit avec le fameux Zeus qui s'était métamorphosé en cygne.
Le mode d'emploi de ce couple - très poétique - n'est pas décrit avec précision.
Mais Léda en aurait pondu deux œufs, donnant deux paires de jumeaux. Mais si!
L'une des paires est Clytemnestre-Castor, l'autre est Hélène-Pollux
Léda fut donc 'cygnifiée'?

C'est tout de même mieux que IO, changée en génisse, 'bêtifiée' au lieu d'être 'béatifiée'.
1865 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1865 HI/DY/ Belgique Léopold II Dame_Reine Léopold II de Saxe-Cobourg (Bel.)
© Histoire Dynasties: Accession au trône de Léopold de Saxe-Cobourg, apparenté aussi auss aux Hanovre.
Il épouse en 1953 la princesse Marie-Henriette de Habsbourg est est Archi-duchesse d'Autriche.
Très influent, gourmet exigeant et adultère sans scrupule, propriétaire de l'empire colonial Congo.
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- Vita : Roi des Belges de 1865 à 1909.
Né à Bruxelles en 1835, * à Laeken (château royal de Bruxelles) en 1909.
1934 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1934 HI/DY/ Belgique Léopold III de Belgique Dame_Reine Léopold III de Belgique
© Histoire Dynasties: Léopold Philippe Charles Albert Meinrad Hubertus Marie Miguel, prince de Belgique, accède au trône.
Suite à l'accident de son père, le roi Albert 1er. Il est le fils de la reine Elizabeth de Wittelsbach.

En 1 926 il épouse la princesse Astrid de Suède , qui deviendra (depuis 1934) une reine 'de légende'.

La reine Astrid s'était tuée en voiture en Suisse en 1 935.
Le roi épousera en 1 941 Liliane Baels, l'élégante fille du gouverneur de Flandres, qui sera Princesse de Réthy.

Le roi Léopold, de grande prestance, avait fiat des discours sévères contre l'Allemagne nazie, et appelé à l'union contre elle et ses projets.
Après la capitulation, il tenta que soit épargnée à la Belgique une occupation trop brutale et insoutenable.
Il refusa de s'exiler et fut donc prisonnier de l'Allemagne.

Lassé des critiques relatives à cette attitude, il laissera le trône à son fils Baudouin à la majorité de ce dernier, en 1 950, et abdique en 1 951.
Longtemps après, la presse française [ Le 13 sept. 2 013, le magazine français Marianne] le mettra scandaleusement à la cause, posant la question (titre à la Une) : 'antisémitisme et collaboration?'.
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- Vita : Roi des Belges de 1934 à 1 951.
Né à Bruxelles en 1901, * en 1983.
-3110 CO/SC/ Moyen-Orient Lady of Uruk Dame_Reine Lady of Uruk
© Courants Sculpture:   Sculpture sumérienne
- - Info : Essor du premier grand courant sculpturel 'civilisé' : Sumer, Akkad, puis Babylone, en Mésopotamie.

Les œuvres sont réalisées dans une variété de matériaux:
  • basalte, diorite (un type de pierre sombre et granuleuse); pierre de sable, et alabaster.
  • Cuivre, or, argent, et aussi des coquilles;
  • Des pierres précieuses, telle le lapis lazuli, étaient utilisés pour des œuvres de luxe et des inserts;
  • L'argile servait à la poterie et à la sculpture terra cotta - mais on est là en 'céramique';
  • La pierre était rare et devait être importée. Elle demande des outils plus puissants.
On reconnaît les faciès sculptés akkadiens et sumériens à leurs grands yeux noirs qui zieutent, et aux barbes viriles des hommes.
Des pierres 'votives' de ce type depuis vers -3100 sont la Lady of Uruk, et d'autres sur les sites de Tell Asmar.

Une autre collection de pièces maîtresses fut dcouverte au Cimetière Royal de Ur, de vers -2650.
Une de ses pièces extraordinaire est une harpe de boiserie avec des insertions d'or et de mosaïques, et une tête de taureau dorée à barbe noire. Olé!.

La période de Babylone est sensée commencer avec le règne de Hammourabi en -1750.
Ce serait lui qui serait représenté par la bien connue tête aux grands yeux et à barbe en diorite.

Une œuvre intéressante plus tardive ( -880 à -860) est le lamassu, un lion à tête humaine, situé en alcôve avec 5 pattes.
De la sorte, on en voit toujours 4 lorsqu'on se met sur le côté.
Cette pièce fut donnée au New York Metropolitan Museum of Art par John D. Rockefeller Junior en 1932.
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- Vita : La Dame d'Uruk, peut-être reine, est un fleuron pionnier de la sculpture de Mésopotamie.
1792 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1792 MO/SO/ France Lamballe Dame_Reine Princesse de Lamballe
© Mouvements Société:   Supplices sanguinaires des Révolutionnaires
- - Info : L'ancien Hôtel du duc de la Force fut affecté en prison pour dettes en 1780.
Il est situé à Paris, dans le quartier du Marais.

Les révolutionnaires en firent une prison 'politique', pour hommes et femmes.
Les conditions de détention devinrent cyniques.

1792 :

Les Révolutionnaires firent des massacres sanguinaires (plus de 1 000 dans les prisons).
Un bon exemple est celui de la Princesse de Lamballe.
Après les sévices d'usage, elle fut littéralement découpée en morceaux.
Un autre exemple, plus tard, est celui de la gouvernante de la reine:
Elle fut exhibée sur la place publique, puis on lui arracha les tripes à vif devant une foule ravie.

Cette prison ne fut supprimée qu'en 1850, sous la République de Napoléon III.
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- Vita : Princesse italienne, née à Turin. Intendante de la reine.
Atrocement mutilée par les Révolutionnaires.
646 AR/RL/ Belgique Landen Dame_Reine Itte et Gertrude de Landen
© Architecture Ar_Religieuse:   Fondation du monastère de Nivelles (Brabant, Belgique).
- - Info :     Nivelles
Fondation du monastère de Nivelles
646 Itte (et sa fifille Gertrude) fondent le monastère de Nivelles, développant la cité.
Elle est l'épouse de Pepin de Landen, vaste seigneur qui aurait trahi la reine Brunehaut.
Maire du Palais de Dagobert, roi mérovingien issu de Tournai et Nivelles, il prit le pouvoir.
C'est la fondation de la dynastie des 'Pépin', dont Charlemagne.
VIe
et VIIe s.
Des églises mérovingiennes y sont installées aux VIe et VIIe siècles.
XIe s. Fondation de la considérable Collégiale Ste Gertrude, peut-être la plus vaste et ancienne.
1525 Marguerite d'Autriche y fonde l'église des Récollets, toujours en vie.
NdR: Les récollets sont des religieux réformés, dans les ordres de St Augustin et de St François.
1647 Nivelles est réputée en toute l'Europe pour ses toiles très fines, appelées 'batiste'.
Les graves émeutes ont écoœuré les tisserands, qui se sont alors installés à Valenciennes et Cambrai.
Ces villes étaient aussi en Hainaut (Bel.). Ce fut pour elles un grand essor.
1 640 La Nivelles ancienne est ravagée et brûlée par la guerre.
La reconstruction fut coûtueuse mais très réussie.
2 000 Plus que jamais s'y déroule un dynamique folklore, avec GÉANTS, dragons et bière.
NdR: Deux 'tart'al djott' (tarte aux oignons etc.) de Nivelles suffisent à la survie d'un régiment.

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- Vita : Comtesse de Landen et de Nivelles
2015 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
2015 EX/AR/ Belgique Langhendries Dame_Reine Madame !_Langhendries
© Expositions Architecture:   Millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-Jacques (Liège, Bel.)
- - Info : '- L'église Saint-Jacques accueille, du 26 juin au 13 septembre 2 015, une belle exposition consacrée aux témoins les plus significatifs et les plus prestigieux de l'histoire, l'histoire de l'art, l'archéologie et l'architecture de l'église et de l'ancienne abbaye (1015) -'.
'- Le fil conducteur de l'exposition repose sur l'histoire de l'abbaye et la mise en valeur depuis sa fondation au XIe siècle. Jusqu'à la sécularisation de l'église en 1785.

Les thématiques sont illustrées par un choix raisonné d'œuvres de tous les arts.
Surtout à thème religieux, depuis la Bible de saint Jacques du XIIIe s.

Un apport clef est de suivre les heurs et malheurs d'un édifice religieux, depuis sa fondation.
Un 'scénario' typique de Belgique et France.
  • Fondation d'un abbaye (ici, 1015). Mais il y en a de plus anciennes (Val Saint-Lambert, VIIe s. etc.)
  • Evolution de l'abbatiale vers le 'roman' en pierre;
  • Vers un vaste édifice gothique, puis une 'collégiale'.
  • 1758 : Sécularisation (clergé 'séculier' (du siècle), diocésain au lieu du 'régulier', (monastique.)
    1798 : Suite à l'occupation des troupes françaises, ventes publiques des biens meubles.
    Dégradations, réparations, débat sur l'abandon ou la rénovation (2 014);
  • 2 015 : remise en valeur, échafaudages et très belle et intéressante exposition historique et artistique.
Ceci relève du 'diocèse' de Liège. Le 'Prince-évêque' date de 979, empire germanique.
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- Vita : Conservatrice à l'exposition 'Millénaire de Saint-Jacques (Liège).
Accueil souriant et compétent.
1725 HI/DY/ France Leszczyńska Dame_Reine Maria Leszczyńska
© Histoire Dynasties: Maria, fifille de Stanislas 1er de Pologne, devient reine de France en 1725.
Elle eut 10 enfants, dont au moins plusieurs seraient de son époux Louis XV.
Ce dernier tenta une vaine 'guerre de succession de Pologne'.

Ce serait elle qui aurait dit

'- Les révolutions depuis la misère sont plus faciles que les progrès dans l'opulence -'

Ce qui n'posest nullement justifié, que du contraire.
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- Vita : Héritière de Pologne, fille de Katarina Opalinska, épouse de Louis XV en 1725.
Née à Breslau en 1703, * à Versailles en 1768.
722 HI/VL/ Tchéquie Libuše Dame_Reine Libuše
© Histoire Ville_Liste: Prague

L'auteur [Y. Papin (op. cit.)] situe en 722 la fondation de Prague, et ajoute lucidement 'légendaire'.
Ceci dit, le Royaume de Bohême étant fondé, pourquoi ne serait-ce pas un bon choix de date 'réel'?.

NdR:  Bien des villes ont des mythes, des légendes aussi, associées à leur fondation.
Plus elles sont anciennes, plus elles sont mythiques: forcément, moins connues.
Ainsi de la fondation de Rome par Rémus et Romulus allaités par une Louve (-750), etc.

Les fondations classiques, concrètes, sont presque toujours associées aux conditions suivantes:
  • Une place-forte;
  • Un marché;
  • Un fleuve, un estuaire;
  • Un centre religieux, abbaye, monastique;
  • Le choix d'implantation d'un Grand Chef.
Plusieurs de ces critères sont souvent réunis, ce qui en fait le développement.
Mais la présence d'un 'marché' est certes le critère dominant du développement de l'implantation.

Parmi les légendes de la fondation de Prague, capitale de la Bohême, figure celle de Libuše.
Elle est rapportée dans le bel ouvrage de [Dominique Fernandez : Prague et la Bohême 1994, éd Stock].
Dont extrait :

'- ' Parmi les mythes qui ont fondé Prague et dont on retrouve le souvenir dans la ville actuelle, Libuše est le plus ancien.
Descendante de Čech, l'homme errant légendaire qui se serai tfixé sur les bords de la Vltava et aurait donné son nom au pepeuple tchèque, cette jeune femme, mi-princesse mi-prêtresse, se serait installée sur la butte rocheuse de Višerad.
Héritière du royaume, elle le gouvernait au mieux. On ne lui faisait quun reporoche, celui d'être une femme. Elle accepta de prendre pour mari celui que lui désignerait son cheval blanc envoyé au hasard dans la campagne. L'animal s'arrêta devant Přemisl, un laboureur qui devint prince consort et fonda la première lignée des souverains historiques, les Prémyslides. [NdR: c'est historiquement la dynastie fondatrice].

Les noces de Libuše et de Přemisl illustrent l'union mythique de la colline et de la plaine; de la ville et de la nature, du pouvoir politique et de la fécondité agricole. -'

'- L'opéra de Smetana [Libuše] qui inaugura en 1883 le Théâtre national, et depuis cette époque ouvre rituellement chaque saison, est ue évocation solennelle des premiers temps de la grandeur tchèque. [.].
Dans Libuše, Smetana prsente en raccourci toute l'histoire de la Bohême. Dans la dernière scène, la prêtresse entre en transes [...] -'

NdR: Pour la suite, pas ici: faut prendre un ticket.
La reine est représentée par une superbe gravure sur bois, dans les tons bruns et beige.
Le titre est Allégorie de Prague Elle est conservée par la Maison Municipale.

Prague eut de longs temps d'occupations et de périodes sinistres - de très brillantes aussi.
Bondée de merveilles d'art et de culture, au peuple et ambiance émouvants.
D'aucuns la disent la plus belle ville, la plus évocatrice d'Europe.
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- Vita : Très belle jeune femme mi-princesse mi-prêtresse, reine de Bohême.
On lui prête la fondation de Prague. Au VIIIe siècle?
795 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
795 HI/DY/ R.des.Francs Liutgarde Dame_Reine Liutgarde
© Histoire Dynasties: Princesse sans doute lombarde (selon son nom, car Liut est un roi lombard).
La Lombardie, où les 'Lombards' sont des migrants dorigine danubienne, forme le Nord de l'Italie.

Cinquième épouse de Karel 1, dit Charlemagne.

Elle suit Festrade qui tenu 7 ans.
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- Vita : Princesse sans doute lombarde, cinquième épouse de Charlemagne, vers 495.
Décédée en 800, après 5 ans de bonheur dans le pré
1575 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1575 HI/DY/ France Louise de Lorraine Dame_Reine Louise de Lorraine
© Histoire Dynasties: Fille de Nicolas de Lorraine et de Marguerite d'Egmont de Vaudémont.
Épouse Henri III (de France) en 1575. Serait la seule vie royale 'normale'?
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- Vita : Reine de France de 1575 à 1589.
Née en 1553, * en 1601.
1771 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1771 HI/DY/ France Louise de Savoie Dame_Reine Louise de Savoie
© Histoire Dynasties: Fille du roi de Sardaigne Victor-Amédée III, épouse le futur roi de France Louis XVIII en 1771.
Morte en 1810, elle ne sera pas reine de France.
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- Vita : Héritière de Savoie. épouse du futur roi de France Louis XVIII en 1771.
Née en 1753, * en 1810.
1832 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1832 HI/DY/ Belgique Louise-Marie d'Orléans Dame_Reine Louise-Marie d'Orléans
© Histoire Dynasties: Louise-Marie d'Orléans est la fille aînée du roi de France Louis-Philippe, mais ne pourrait règner en raison de l'archaïque Loi salique.

1 832 :
En 1 832, donc à vingt ans, elle épouse Léopold Ier, roi des Belges.
Le Prince Léopold avait épousé en 1 815 Charlotte d'Angleterre, l'héritière du trône du Royaume-Uni, mais elle décéda en 1 817.

La classe de Louise-Marie, et ses invitations 'impériales' ont beaucoup contribué à faire la renommée d'Oostende, la station thermale et balnéaire de la côte belge.
Elle donnera naissance à Léopold II.
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- Vita : Fille aînée du roi de France; épouse du roi des Belges.
Née à Palerme en 1812, * à Oostende en 1850.
1100 HI/DY/ R.des.Francs Lucienne Dame_Reine Lucienne de Rochefort
© Histoire Dynasties: Lucienne est la fille de Gui le Rouge, comte de Rochefort.

:
1104 :
En 1104 Elle épouse de Louis VI, dit 'le Gros' (il y a d'autres le Gros), roi des Francs de 1108 à 1137.
Lucienne est déjà répudiée en 1107, de sorte qu'elle ne sera jamais 'reine de France'.

Elle sera remplacée - mais en 1115 seulement - par Adelaïde de Savoie, héritière d'un royaume prestigieux.

Louis VI tentera en 1119 de prendre la Normandie aux Anglais de Henry I, mais fut battu par les troupes anglaises.
Ensuite, l'empereur Henry V envahit la Champagne (N-E de Paris.), puis renonça à sa conquête.

C'est son fils Louis VII qu'il marie à Aliéenor d'Aquitaine - toujours pour épouser des territoires.
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- Vita : Éépouse première de Louis VI , dit 'le Gros'.
En 1104, déjà répudiée (sans avoir été reine) en 1107
1104 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1104 HI/DY/ R.des.Francs Lucienne Dame_Reine Lucienne de Rochefort
© Histoire Dynasties: Lucienne est la fille de Guy le Rouge, comte de Rochefort.
1104 :
En 1104, la petite est épousée Louis VI, dit 'le Gros', roi des Francs de 1108 à 1137.

1107 :
Lucienne est déjà répudiée en 1107, de sorte qu'elle ne sera jamais 'reine des Francs;.

1115 :
Elle sera remplacée - mais en 1115 seulement - par Adelaïde de Savoie, héritière d'un royaume prestigieux.

1119 :
Louis VI tentera en 1119 de prendre la Normandie aux Anglais de Henry I, mais fut battu par les troupes anglaises.
Ensuite, l'empereur Henry V envahit la Champagne (N-E de Paris.), puis renonça à sa conquête.

C'est son fils Louis VII qu'il marie à Aliénor d'Aquitaine - toujours pour épouser des territoires.
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- Vita : Épouse première de Louis VI , dit 'le Gros', en 1104, déjà répudiée (sans avoir été reine) en 1107
182 HI/GE/ Italie Lucilla Augusta Dame_Reine Lucilla Augusta
© Histoire Générale: Lucilla est 'Augusta' en tant que sœur de l'empereur Commode.
Elle fait partie d'un important complot contre ce dernier, un type vraiment cruel et impossible.
C'est la onjuration de Quadratus contre l'empereur, qui a échoué.
. Les sbires de l'empereur exécutent Claudius Pompeianus Quintianus, et Quadratus.
Commode fait aussi exiler à Capri sa sœur Lucilla, épouse de Claudius Pompeianus, instigatrice du complot.
Elle est assassinée peu après, comme d'ailleurs l'épouse Bruttia (pour mobile d'adultère, dit-il).
Éimination aussi de Saoterus et du Préfet du prétoire Paternus, accusés de complicité.
L'assassiné suivant sera, enfin, l'empereur soi-même.
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- Vita : Sœur de l'empereur de Rome Commode.
Assassinée pour conjuration en 182.
921 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
921 HI/GE/ Tchéquie Ludmilla Dame_Reine Princesse Ludmilla
© Histoire Générale: Tchèques.

Assassinat de la somptueuse princesse Ludmilla, plus tard canonisée.
Wenceslas (Václav) succède à Vratislav 1er à la tête de l'État de Bohême.
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- Vita : Belle princesse tchèque 'de légende', assassinée.
1915 Domaine Pays et Thème Nom 'connu' Personnage Nom complet
1915 MO/SO/ Allemagne Luxembourg Dame_Reine Rosa Luxembourg
© Mouvements Société:   Spartakusbund
- - Info : Groupe socialiste révolutionnaire allemand, se séparant de social-démocratie allemande.
Il reproche à cette dernière son opportunisme et nationalisme.
En pleine guerre, 1915, la ligue antimilitariste s'organisa,
Les fondateurs (trices) sont Karl Liebknecht, Rosa Luxembourg, Franz Mehring, Clara Zetkin.

1 918 :
La ligue ('Bund') Spartakus devient en 1 918 le Particommuniste allemand.

1 919 :
En 1 919   Spartakus est affilié à la IIIe Internationale (orientation communiste).

Rosa Luxembourg et K. Liebknecht sont assassinés cette même année.

R. Luxembourg était membre et cofondatrice du Parti révolutionnaire polonais Prolétariat.
Elle fit ses études de science éconmique en Suisse.

1 913 :
En 1 913 elle publie L'accumulation du Capital, dont la source marxiste est évidente.
C'est la faillite de la II Intenationale qui l'amène à fonder Spartakus. Puis le le Parti communiste avec les membres cités.
Le courant s'exprime par le journal Die rote Fahne (le fanion, l'étendard rouge).

1 919 :
Elle prit part à l'insurrection 'Spartakus' en janvier 1 919.
Celle-ci évoque évidemment celle des esclaves-gladiateurs sous Rome en -71.
Elle fut assassinée lors de sa répression.
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- Vita : Révolutionnaire polonaise, co-fondatrice du Parti communiste allemand.
Née à Zamość (Pologne russe) en 1 870, * assassinée à Berlin en 1 919.

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