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'- Au théâtre, une seule question : " baiseront-ils?"
S'ils baisent, c'est une comédie;
S'ils ne baisent pas, c'est un drame -' [Marcel Pagnol]

Une légende tenace est celle de Sémiramis, en tant que reine d'Assyrie et de Babylone.
Elle était la très belle épouse du gouverneur Omnès, puis celle du roi Ninnos.
Elle aurait conduit des guerres jusqu'aux Indes.

Sa légende lui attribue d'avoir fait construire les fameux "Jardins suspendus" du palais de Babylone.
C'est (le Jardin, mais Sémiramis aussi) une des '7 merveilles du monde', dont il ne reste rien.
L'analyse historique attribue les somptueux monuments de Babylone à Nabuchodonosor II, vers -590.

La traduction donne '- Dieu appela la lumière 'jour' et les ténèbres 'nuit' ['leïl']. -'

• Elle rythme le temps dans son alternance avec le jour; (il y a 223 occurences dans l'Ancien testament où ce mot est associé à 'jour');
• La nuit dans la bible signifie '- l'égarement de l'homme éloigné de Dieu qui est 'lumière';
• Les hommes s'y reposent [Q0, 5, 11];
• C'est le moment de la rencontre intime de l'homme et de la femme [Gn 30, 16];
• La peur des méchants qui profitent de l'obscurité pour commettre leurs forfaits [Jb 24, 14];
• C'est la nuit que l'homme 'baisse la garde', est moins vigilant.
  '- Le "surmoi" desserre son étreinte, dirions-nous aujourd'hui, laissant l'inconscient s'exprimer dans les rêves -';
• La nuit, le cœur de l'homme, se dévoile;
  Tous les peuples environnant Israël prêtent attention aux songes, sont sensibles à leur ambigüté.
• Plusieurs orientations religieuses présentent un 'téléguidage' de l'homme par Dieu durant la nuit.
  Dans la bible hébraïque, c'est, par exemple, le 'combat de Jacob et de l'Ange' (le 'divin').
  Cet 'homme de désir' gagne son combat nocturne.
  Il s'appelle alors Israël - littéralement Fort contre Dieu.
  Plus tard, c'est arrivé aussi à une certaine Jehanne d'Arc, mais cela ne signifie pas 'Forte contre les Anglais'.
• La bible met en évidence le '- besoin humain d'intériorité-' - lequel se passe la nuit.
  
  Dans des contextes très différents, certains ('mystiques'?) le recherchent par la méditation, des phases interrompant le 'jour'.

• Le plus typique et moins cassé serait le Temple d'Apollon Épikourios, à Bassae.
  C'est nulle part dans le Péloponnèse, à 8 km à pied montagneux du premier patelin.
  On se demande comment on a pu amener et financer un architecte génial, des engins et matériaux en ce lieu choisi.
  M'enfin, il y a bien de vastes monastères tibétains s'agrippant à des falaises vertigineuses à 4 000 m.
  Si les 'voies des dieux sont impénétrables', celles-là, sont parfois sportives.
  '- Le célèbre temple du dieu solaire et guérisseur fut construit vers le milieu du Ve siècle av. J.-C. dans la solitude des montagnes arcadiennes.
  Le mélange de l'archaïsme et de la sérénité du style dorique avec certaines audaces architecturales est caractéristique de cet édifice où se trouve le plus ancien chapiteau corinthien conservé. -' [Guide du Routard ].
  Trois autres des 'grands Apollons' sont à citer :
• Le Temple de Delphes, le célèbre sanctuaire (dont la star était Apollon, justement).
  En fait, il y eut six temples successifs.
  Le quatrième, de structure en stuc, fut construit par Trophonios et Agamède et détruit lors d'un incendie en - 538.
  L'ensemble, sur une spectaculaire terrasse, est plutôt tout un 'site'.
  Il subsiste des fragments du cinquième et sixième, mais tout Delphes fut ravagé plusieurs fois.
  Donc, ici, on préfère la référence initiale de Corinthe
• L'ancienne 'métropole' de Corinthe fut entièrement rasée par les Romains en l'an -146.
  Elle ne fut reconstruite qu'en - 44 à l'initiative de Jules César.
  Il ne restait donc quasi plus rien de la cité grecque. Seul l'ancien Temple d'Apollon fut épargné.
  Il fut Construit entre -550 et -525 av. J.-C. sur une terrasse rocheuse qui domine l'Agora.
  Ce temple est l'un des plus anciens monuments d'ordre dorique connus.
  Le le péristyle comptait 38 colonnes monolithes, ce qui donne une idée de son importance. Il en reste 7.
• Bien d'autres, a-t-on dit, sont répartis sur les territoires de l'hellénisme, dont le fabuleux Apollonia, ravagé en actuelle Libye